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22/11/2016

Grégoire Jean-Yves & Fellay Sandrine

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 Le tour de la Bretagne à vélo

Auteur : Jean-Yves Grégoire

Cartographe : Sandrine Fellay

Du Mont-Saint-Michel à l'embouchure de la Loire, la Bretagne développe 2000 kilomètres de côtes. Pour qui veut les suivre au plus près, à pied, l'idéal est de partir sur le GR 34, le sentier des douaniers. Magnifique, mais très long. Pour qui préfère rouler - sans être un as du guidon -, ou tout bonnement dispose de moins de temps, Jean-Yves Grégoire a concocté un Tour de la Bretagne à vélo (à VTC) qui, ignorant pourtant les pistes boueuses et les chemins caillouteux, de même que les routes les plus encombrées, se faufile au plus juste entre terre et mer, privilégiant les routes vicinales et les départementales à faible trafic, mais n'ignorant ni les pointes rocheuses, ni les plages sauvages, les villas cossues et les allées couvertes. Les mains sur le guidon, les yeux sur la côte d'Emeraude, de Penthièvre, du Goëlo, du Trégor, de Granit Rose...

Vol. 1 comporte 10 étapes ; chaque descriptif - sous forme de road-book - est augmenté de plusieurs alinéas patrimoniaux... 2008 - 107 pages – reliure spirale.

Vol. 2 permet de relier Roscoff à Quimperlé, en près de 800 km et treize étapes, visitant la Côte des Abers, dépassant la pointe Saint-Mathieu, traversant Brest, sillonnant la presqu'île de Crozon, rendant visite à la pointe du Raz et au pays Bigouden, n'omettant ni Quimper, ni Concarneau, ni Pont-Aven... 2009 - 115 pages – reliure spirale.

Vol. 3 permet d'aller de Quimperlé à Nantes, dépassant la barre d'Étel, longeant la Côte Sauvage de Quiberon, visitant le golfe du Morbihan, musardant sur la presqu'île de Rhuys, suant à Guérande, s'étirant le long de la plage de La Baule. Sans oublier les alignements de Kerzerho, de Carnac, de Locmariaquer, la Cité de la Voile à Lorient, les chantiers navals de Saint-Nazaire... 2009 - 119 pages – reliure spirale.

Rando éditions Glénat

 

19:29 Écrit par Biblio-cycles dans Bretagne, Guides | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer

21/11/2016

Déon Bernard et Seray Jacques

 1792539646.jpgLes revues cyclistes des origines à nos jours

Auteurs : Bernard Déon et Jacques Seray

Le pari est osé. Certes plusieurs auteurs et non des moindres se sont déjà lancés dans une analyse du fait sportif à travers sa presse. Ils nous ont ainsi livré tant des titres que des noms de rédacteurs qui ont su magnifier – souvent au quotidien – le muscle et son contexte, sociologique ou anecdotique. A ce titre, ils ont fait œuvre de témoins et d’historiens. Mais ils ont principalement fait démonstration de leur métier : celui de journaliste.
Dans un passé déjà lointain, d’autres auteurs tels Baudry de Saunier et Louis Bonneville avaient déjà su relever des titres de périodiques cyclistes et des noms de rédacteurs. [...]
Une autre démarche, toujours d’essence culturelle, s’est faite jour ultérieurement. Elle s’est attachée à relever au spécifique les livres – et non les magazines – d’inspiration cycliste et à les nourrir des meilleures coordonnées. Jean Durry n’a pas manqué de nous enchanter dans sa riche annexe bibliographique. Puis, sous nos encouragements, vint Keizo Kobayashi qui produisit Pour une bibliographie du cyclisme. [...]
Ce recueil se donnait pour vocation première les revues cyclistes – en langue française -. Il s’est complété de titres omnisports mais aussi de quelques revues techniques ou touristiques se donnant un propos cycliste. Il a exclu – pour ne pas perdre sa spécificité – les journaux d’information générale ouvrant une rubrique sportive. [...]
Comment lire cette bibliographie ? Elle comporte la logique traditionnelle de tous les relevés d’ouvrages, adaptée à la spécificité des périodiques. En ce qui concerne les dates de première et de dernière parution, deux manières de traitement se présentent. Celle de la certitude absolue et celle où l’information est a la fois non vérifiée et non affectée d’un doute trop important. Dans ce cas, la rubrique est malgré tout alimentée et distinguée pas l’emploi de l’italique. Il faut alors lire, pour le numéro, le mois ou l’année concernée : probablement. Cette indication nous est apparue comme plus utile qu’une carence totale qui pourrait laisser entendre que telle revue a continué sa vie pendant plusieurs années ou l’a cessée peu après sa parution alors que nous avons une certaine connaissance de sa période d’existence.
Deux auteurs, tels que ceux qui opèrent ici en tandem, ne sont pas dispensés d’être ravitaillés par des amis qui pédalent dans le même sens. Ainsi, ont-ils sollicité et reçu des avis et communications.
Vient alors l’heure des remerciements. Les premiers vont à Keizo Kobayashi dont le travail sur les livres cyclistes n’a pas manqué d’offrir des rencontres avec les périodiques de même nature. Ce dont nous avons bénéficié. Ensuite, ne seront pas oubliés le docteur Jean-Pierre de Mondenard, Raymond Henry, Jean-Paul Mazot et Gérard Salmon, lesquels, chacun à leur manière, se sont montrés en phase avec notre recherche. Sera placé en exergue le nom de Nadine Besse. Conservateur du Musée d’Art et d’Industrie de Saint-Étienne, elle avait déjà marqué son intérêt au cyclisme des pionniers, représenté dans ses salles par de caractéristique machine et de parlantes affiches. Maintenant, elle va plus loin. Avec l’Association des Amis du Musée, elle suscite et assume l’édition d’ouvrages. Un bienfait pour notre cause !

 

1996 –  96 pages –  Musée d’Art et d’Industrie de Saint-Étienne