François Daniel

Lentement l’Amérique

 Auteur : Daniel François

 

Daniel François est parti en Amérique Latine pour tâcher de comprendre la vie des gens de là-bas.
Il a parcouru 45694 kilomètres à travers deux départements d’outre-mer français et quinze pays étrangers en l’espace de quatre ans et trois mois (31 décembre1988-4 avril 1993).
Il n’a pas précisément voyager à un rythme échevelé ! En revanche sa petite balade lui a permis de faire moisson de moments, de personnages, de sensations et d’émotions inoubliables.
Extrait : La perplexité de l’indien devant ma bicyclette et mon paquetage est constante. Suis-je en train d’accomplir un pèlerinage à la suite d’un vœu, d’une promesse faite à la Vierge ? Suis-je en train de réaliser une mystérieuse mission ? Mais c’est ce paysan équatorien qui m’a posé la question sans doute la plus extraordinaire de tout le voyage.
-Pourquoi t’a-t-on infligé ce châtiment, gringo ?

 

1993 - 178 pages - Pour se procurer ce livre. Écrire à : Daniel François - 226, route de Béthune - 62300 Lens

François Daniel

Mémoires de mon passeport
Quatre années et une pandémie en Amérique du sud

Auteur : Daniel François

 

Daniel François est un voyageur au lent cours. Amoureux de l’Amérique latine, qu’il a déjà parcourue à vélo plusieurs fois ces dernières décennies, il relate quatre ans de pérégrinations de la Colombie au Paraguay en passant par l’Équateur, le Pérou, la Bolivie, le Chili et l’Argentine.
Entre ses actions au sein d’une ong humanitaire (l’OICN), ses vieilles connaissances retrouvées en chemin et ses brèves ou plus longues rencontres, c’est à un pas de côté qu’il nous invite, loin du surtourisme et des sentiers battus.
Daniel n’élude pas ses angoisses et son spleen, notamment lorsqu’il se trouve bloqué plusieurs mois dans un hôtel à Potosi (Bolivie), en pleine pandémie de Covid-19. Il lui arrive de modifier son voyage au gré de ses envies, pour suivre par exemple la trace des écrivains Gabriel Garcia Marquez et Francisco Coloane, ou de changer de cap pour éviter les rigueurs de l’hiver austral en Patagonie.
Quelques beaux portraits de femmes, d’hommes et même d’un enfant (un gauchito) complètent le tableau d’un récit de voyage au style concis, sans les pesantes digressions et autres poncifs du genre.

 

2024 – 140 pages – Autoédition disponible auprès de l'auteur

Prix : 10 € + frais de port

 

Les autres récits de Daniel François sont à voir ici.

François Daniel

Les voiles à vélo

1200 jours en Amérique latine sur deux roues

de mai 2007 à septembre 2010

Auteur : Daniel François

Texte de la 4e de couverture

À propos de : LES VOILES À VÉLO

Daniel François – Trois ans dans la Cordillère des Andes

Mettre les voiles à vélo. Voguer sur deux roues.

Un vieux rêve caressé par beaucoup.

Ceux qui ont lu l'ouvrage « Lentement l'Amérique » (éditions Copremo, 1993) trouveront peut-être qu'il a quelque chose en commun avec celui-ci.

Rien de surprenant à cela.

L'auteur est le même et les deux ouvrages évoquent de longs périples à vélo en Amérique latine. Ce qui différencie les deux publications ? « Les Voiles à vélo » parle certes de kilomètres abattus et de cols vaincus, mais il offre beaucoup plus. Des portraits de Latino-Américains marquants, des descriptions de paysages hypnotisants, des évocations de moments de vie qui demeureront à jamais gravés dans la mémoire et le cœur de l'auteur.

Note de la rédaction du blog

Ce livre est la seconde et définitive mouture, agrémentée de photos en noir et blanc et de nouvelles anecdotes, d'un ouvrage paru en 2011 sous le même titre et également présenté sur ce blog.

2016 – 184 pages – Autoédition disponible auprès de l'auteur : Daniel François c/o Anne-Marie François – 2 rue F.-L. Gibon – 92220 Bagneux. [e-mail]

Prix : 14 euros, port compris

François Daniel

Longer le grand serpent d’eau

Le Danube à vélo

Auteur : Daniel François

C’est entendu, les bords du Danube sont parcourus chaque année par des milliers de cyclistes, sur la mythique piste Eurovélo 6. C’est entendu, on ne découvrira plus rien de nouveau dans ce coin du monde. Mais c’est vrai pour la plus grande partie de la planète désormais. Cet ouvrage prétend dépeindre un certain voyage, une certaine vision du monde danubien. Les miens. Ce fleuve de près de trois mille kilomètres, je l’ai remonté de son delta à sa source, sur mon vélo Flamand, entre mars et juin 2014. Il fut mon fil conducteur, mon compagnon de route. Je l’ai vu évoluer, en largeur, en force, en couleur, en luminosité. J’ai campé sur ses bords, côtoyé certains de ses riverains.

Et puis, en parallèle à ce récit qui coule au même rythme que le fleuve, moi qui suis né en 1950 et bourlingue dans le monde depuis quelques décennies, la tentation m’a saisi de faire le point, de poser mes bagages, voire de les ouvrir pour raconter telle ou telle anecdote déjà ancienne, exposer mes grands et petits principes de voyageur. J’ai atteint un âge où l’on fait ce genre de chose.

2015 - 149 pages – Contact pour vous procurer ce livre : [e-mail]

Daniel François c/o Anne-Marie François – 2 rue F.-L. Gibon – 92220 Bagneux.

Prix : 12 €

Livre lu et apprécié par le comité de lecture du blog

François Daniel

 

 

LES VOILES A VÉLO

- 1200 jours en Amérique latine sur deux roues de mai 2007 à septembre 2010 -

 

VENEZUELA - COLOMBIE - ÉQUATEUR - PÉROU - BOLIVIE - CHILI 

Auteur : Daniel François

 

Introduction - Quel est le lieu qui passe pour être le symbole-même du voyage mais tue le voyage ? L’aéroport. 8 septembre 2010 au soir, aéroport international d’Orly. Je regarde mes pauvres bagages sales et usés qui tournent misérablement sur le ruban en caoutchouc. Après tout, ils sont tout ce que ramène de visible de ces mille deux cents jours de périple en Amérique latine, périple qui a pris fin a veille, dans un décor tout à fait semblable à celui-ci, l’aéroport international de Lima, Pérou. J’ai beau me dire que je ramène aussi des bagages invisibles, autrement plus riches ceux-là, il n’empêche qu’on m’a volé la fin de mon voyage. Quinze petits heures de rien du tout dans une carlingue ont escamoté plus de trois ans de mon existence. A-t-il eu lieu, ce voyage, d’ailleurs ? j’en doute déjà. Et je regrette amèrement que soit terminée l’époque où on mettait des mois pour aller, en voilier, du Vieux Continent au Nouveau Monde. On avait alors vraiment la sensation de changer de continent. 24 mai 2007 au matin, aéroport international de Badajas, Madrid, guichet de la compagnie aérienne colombienne Avianca. Première déconvenue : je dois absolument acheter un billet d’avion pour sortir de l’Équateur, cela pour pouvoir embarquer dans l’avion qui va m’y emmener ! les logiques du monde moderne. On m’assure que les douaniers équatoriens vont l’exiger. Je sais que c’est faux et sans doute aussi l’employée de la compagnie. Elle me jure que la compagnie me remboursera  ledit billet si par bonheur il n’était pas exigé (ce qui aura lieu finalement). Bref, je fais l’acquisition d’un billet Quito-Bogota. Seconde déconvenue ce jour-là : à la porte même de l’aéroport, j’ai emballé vaille que vaille le vélo dans la toile de tente. Refus de la compagnie. Il me faut dégotter là, sur le champ, un grand carton pour y glisser la bicyclette. Comme par hasard, une autre compagnie aérienne en vend. Pour 20 $ pièce, plus 10 $ pour envelopper le carton dans un film plastique. Business is business.

2011 - 182 pages - format poche - auto-édité :

En vente : association “Pain et Tendresse Colombie“ - 38, rue de Kerourio - Caudan 56850 -   [e-mail] 

Prix : 15 € + 3 € de frais de port. 

 

Livre lu et apprécié par le comité de lecture du blog