Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : fabre + paul

Ducoin Jean-Emmanuel

Bernard-couverture.jpgBernard, François, Paul et les autres...

Auteur : Jean-Emmanuel Ducoin

 

En 1985, Bernard Hinault remporte son cinquième et dernier Tour de France. Trente ans plus tard, aucun Français n'a réussi à regagner l'épreuve mythique de juillet. Comment prévoir une telle déveine dans le pays qui inventa la course la plus importante de toute l'histoire, celle qui façonna la légende des « Forçats de la route » ?
Il y a trente ans, Jean-Emmanuel Ducoin, qui n'est pas encore journaliste, suit la Grande Boucle en touriste, avec son grand-père, Paul, dans une Simca 1000. Durant trois semaines, le vieil homme et son petit-fils, mus l'un et l'autre par la passion pour leur idole Bernard Hinault, traversent la France de part en part et assistent, au gré de leurs rencontres, mais sans en prendre pleinement conscience, au basculement d'un monde.
Au milieu des années quatre-vingt, c'est la France de la gauche au pouvoir, celle de Mitterrand. Mais c'est aussi la fin des promesses de mai 1981, oubliées sur l'autel du réalisme économique. C'est la casse de la sidérurgie, la fermeture de Manufrance, le temps de la rigueur. C'est la fin des illusions. Les ouvriers se sentent trahis, tandis qu'avec l'arrivée de Bernard Tapie dans le cyclisme, les meilleurs coureurs deviennent des millionnaires.
L'année 1985 scelle la disparition d'un âge d'or. Celui du cyclisme. Celui d'une certaine idée de la France.

 

2015 205 pages Éditions Anne Carrière

Prix : 18 €

Ce récit obtenu le prix « Les soleils de Nucéra » en 2016.

Jean-Emmanuel Ducoin est l'auteur de plusieurs autres livres, romans, essais et biographies, sur le cyclisme. Pour en savoir plus, consulter la fiche Wikipédia dédiée.

Lire la suite

14/04/2021 | Lien permanent

Henry Raymond

Henry Raym - jpeg - copie 1.jpgPaul de Vivie, dit Vélocio
L'évolution du cycle et le cyclotourisme

Auteur : Raymond Henry

 

Ce livre est une biographie de Paul de Vivie, plus connu sous le pseudonyme de Vélocio, personnage qui marqua l’évolution des changements de vitesse, que l’on trouve à l’origine de l’avance technologique dans ce domaine et auquel sa ville d’adoption, Saint-Étienne, avoir été pendant plus de 60 ans la capitale française de l’industrie du cycle. Comme tous les précurseurs, il est mal connu. Retracer sa vie, c’est évoquer toute l’évolution du cycle, avec ses coups de génie et ses impasses, ses implications sociales, ses concurrences commerciales, les rapports de la compétition et du cyclisme de loisir, les balbutiements de la diététique sportive, la naissance du cyclotourisme et les premiers tours de roue du Tour de France… bref, c’est brosser une grande fresque de la société cycliste de 1886 à 1930.

 L’auteur, Raymond Henry, est cycliste utilitaire, puisque le vélo fut son moyen de transport quotidien pendant presque quarante ans. Il est aussi cyclotouriste, ayant pratiqué tour à tour les différentes facettes de cette activité, du camping à la grande randonnée.

 

 2005 - 541 pages - Musée d’Art et d’industrie, Saint-Étienne – Fédération Française de Cyclotourisme.

Prix : 45 €

Livre lu et apprécié par le comité de lecture du blog

Lire la suite

Lorette Philippe

cyclotourisme La saison commençait
Ballade pour Jean-Pierre Ducasse

Auteur : Philippe Lorette
Préface : Paul Fournel

 

1969, c’est l’âge d’or du vélo. L’âge d’or tout court. Ou bien est-ce déjà la fin ? Elle est finie la belle histoire avait chanté Petula Clark. C’est ce qui arrive le 19 février 1969 sur la Côte d’Azur avec la disparition soudaine, à vingt-quatre ans, du coureur cycliste Jean-Pierre Ducasse. Disparition synonyme de dépeuplement pour le narrateur, le gamin fan de son « JP », son champion rencontré à l’automne 63, à l’heure des promesses, sur les hauteurs d’Arcueil. Ma jeunesse fout l’camp regrettait Françoise Hardy, comme la jeunesse de Ducasse et de son fidèle supporter, comme la candeur de cette glorieuse décennie révélée à travers le prime du vélo.

« Les champions sont faits pour être aimés, les moins champions sont faits pour être aimés davantage. C’est bien une tranche de France populaire que ce livre nous propose, vue à travers le beau maillot amarillo du jeune Jean-Pierre Ducasse au sombre et vaillant destin. » Paul Fournel

Ado des années soixante-dix, charmé par Sylvie Vartan, enivré par The Who, Philippe Lorette – aujourd’hui journaliste – revisite les sixties (BB, le Général, Chapeau melon et bottes de cuir...), un peu pour comprendre et beaucoup pour se délecter de cette fascinante et insouciante époque des idoles. Ami fidèle de la petite reine, il a choisi le cyclisme comme vecteur météorique de son récit nostalgique.

 

2016 - 142 pages - Le pas d’oiseau éditions

Prix : 17 €

Lire la suite

12/11/2016 | Lien permanent

Collectif

Loire-couverture.jpgLa Loire et ses terroirs n° 61

Auteur : Collectif

 

Commentaire de Jean-Yves MOUNIER
Dans ce numéro de l’été 2007, le magazine spécialisé sur le fleuve Loire consacre, sous la plume de Sylvie Chovin, six pages à Paul de Vivie dit « Vélocio », l’apôtre du cyclotourisme.
Revenant sur les premières expériences sur deux ou trois roues de Vélocio, racontant la naissance d’un premier club, celui des Cyclistes Stéphanois, évoquant dans le paysage l’arrivée de la bicyclette en tant que telle, puis l’invention du mot « cyclo-tourisme » et la naissance du Cycliste forézien qui deviendra rapidement Le Cycliste, l’autrice, alors attachée de conservation au musée d'art et d'industrie de Saint-Étienne, rappelle également la carrière commerciale de Paul de Vivie, son militantisme pour les systèmes de changements de vitesse et sa pratique régulière et intensive de la randonnée à bicyclette.
Un portrait synthétique du plus grand intérêt, richement illustré par des documents d’époque, provenant pour la plupart de la collection du regretté Raymond Henry.
Notons aussi la présentation du musée d’art et d’industrie de Saint-Étienne et une page consacrée au circuit de La Loire à vélo.

 

200774 pagesÉditions Loire et terroirs

Lire la suite

07/01/2023 | Lien permanent

De Vivie Charles

Vélocio-couverture.jpgVélocio
Le seigneur des cyclos

Auteur : Charles de Vivie

 

« La bicyclette sera le cheval des humbles ! » prophétise déjà Vélocio en 1890. Derrière ce pseudonyme littéraire se cache l'une des plus extraordinaires figures du cyclisme : Paul de Vivie, l'inventeur du cyclotourisme. Fervent militant du vélo, ce précurseur est à l'avant-garde du mouvement cycliste de son époque. Il a exploré à peu près tout ce que l'on pouvait faire avec une bicyclette et a enseigné l'art de bien rouler.
Entrepreneur visionnaire, il avait déjà créé au XIXe siècle un service de livraison de colis à vélo et imaginé le vélo électrique !
Amoureux de la nature, ce végétarien au mode de vie frugal est en phase avec notre époque soucieuse d'adopter un comportement plus responsable.
Ce livre vous invite à découvrir cet illustre inconnu, à suivre l'étonnante trajectoire de ce pionnier de la révolution vélocipédique, à vibrer aux différents combats qu'il a vaillamment menés, et à vous plonger dans les enseignements de ce philosophe du vélo qui cultivait son amour de la Provence et de la poésie.

 

2022182 pagesÉditions 1881, disponible auprès de l'auteur

Prix : 15 € + frais de port

Livre lu et apprécié par le comité de lecture du blog

Vélocio-couverture2.jpg

 

 

La nouvelles édition du livre aux éditions du Palio.

 

Sur Vélocio, voir l'indispensable ouvrage de Raymond Henry « Paul de Vivie, alias Vélocio » présenté sur ce blog.

 

Sur son site « Vélotextes », Laurent Vigniel propose de nombreux récits de Vélocio et d'autres contributeurs au Cycliste.

Lire la suite

Legalle Julien

Écrivains-couverture.jpgDes écrivains et du sport
14 portraits d'auteurs et d'autrices par leur passion sportive

Auteur : Julien Legalle
Préface : Benoît Heimermann

 

Aviez-vous déjà imaginé que les grands auteurs et autrices soient d’excellents sportifs et que cette pratique ait pu influencer leurs œuvres ? Que l’on peut être prix Nobel de littérature et joueur international de cricket ? Prix Pulitzer et boxeur ? Prix Goncourt de la nouvelle, coureur de fond et « fou » de cyclisme ?
Pourtant la beauté d’un geste, de l’effort, la ferveur d’un stade, les festivités qui entourent une grande compétition et les athlètes légendaires ont été et sont toujours des sujets prisés des artistes. Dernièrement, on ne compte plus les auteurs et autrices contemporains de renom qui ont écrit sur le sport : Jean Echenoz, Jean-Philippe Toussaint, Tristan Garcia, Jean Hatzfeld, Olivier Guez, Bernard Chambaz, Paul Fournel, Éric Fottorino, Maylis de Kerangal, Lola Lafon, Jean-Paul Dubois ou Philippe Delerm. Pourtant un stéréotype tenace voudrait que ces deux mondes soient antagonistes, on est soit du côté du sport, soit du côté de la littérature, il serait inconcevable qu’un sportif écrive et qu’un auteur soit sportif !
Pour la première fois, un livre rassemble quatorze portraits d’auteurs et d’autrices internationaux sur le thème de leur passion du sport. Pour constater que ce phénomène n’est pas nouveau, on remonte le temps pour découvrir Albert Camus, Pier Paolo Pasolini, Luis Sepúlveda et Vladimir Nabokov en footballeurs , David Foster Wallace en tennisman, Samuel Beckett et Arthur Conan Doyle en joueurs de cricket, Ernest Hemingway et Arthur Cravan en boxeurs, Colette en gymnaste, Harry Crews en karatéka et professeur de bodybuilding, Agatha Christie en surfeuse, Jack Kerouac en footballeur américain, et pour conclure ce périple, Antoine Blondin en coureur de fond et passionné de cyclisme.

 

2023400 pagesÉditions du Volcan

Prix : 26 €

Lire la suite

21/06/2023 | Lien permanent

Ricordeau Jean-Luc

Ricordeau-couverture.jpgLa saga des cycles Stella et ses champions

Auteur : Jean-Luc Ricordeau
Préface : Jean Bobet

 

En 1919, Pierre Fonteneau implante son usine de bicyclettes et de machines à coudre à Nantes. Son but se limite à vendre ses produits dans l'Ouest de la France. Lorsque son fils lui succède, l'ambition le conduit à créer une équipe cycliste placée sous la direction de Paul Le Drogo, un ancien champion. Un jeune champion, Louis Bobet, va entraîner dans son sillage toute une génération de jeunes coureurs, Audaire, Barbotin, Jean Bobet, André Mahé, Malléjac, Molinéris, Dussault, Lévêque etc... vers des succès nationaux et internationaux. C'est aussi une page de l'histoire du cyclisme nantais et breton des années 1930 à 1970.
C'est cette saga de la firme Stella et de ses champions que l'auteur s'est appliqué à rapporter, grâce à de nombreux documents inédits tout au long des 216 pages du livre.
La préface de Jean Bobet, l'un des derniers grands coureurs de la firme Stella, confirme l'important travail de recherches et d'interviews réalisé.

Précisions apportées par Henri Bosc
Je signale que les frères Bobet  roulaient en réalité  sur des machines sur mesure réalisées par René Herse mais portant en course la marque pour laquelle ils couraient (Stella ou Mercier).
C'est Jean Bobet qui m'a donné directement cette information, confirmée par les machines et les photos vues au Musée Bobet de Saint-Méen-le-Grand.
La plupart des vedettes de l'époque faisaient de même en choisissant leur constructeur.
J'ai vérifié en consultant le magnifique et monumental livre de Jan Heine sur René Herse et dans le chapitre "Au service de la course" (pp.340-362), on peut lire notamment, écrit par Lyli Herse "A cette époque, les coureurs étaient sponsorisés mais ils achetaient leurs propres vélos, qui étaient faits sur mesure par des petits constructeurs. Ils n'utilisaient pas les vélos de série offerts par leurs sponsors. C'est ainsi que Louison Bobet et d'autres avaient des vélos construits chez nous".

 

2015216 pagesAutoédition

 

Sur la firme Stella, voir également l'article que lui consacre l'Encyclovélo.

Ordner-Stella-affiche.jpg

 

 

Une belle affiche de Paul Ordner à qui Philippe Aurousseau a consacré un livre en 2014, Paul Ordner : 40 ans de dessin sportif, humoristique et politique, 168 pages, aux Éditions de l'Oncle Archibald.

Lire la suite

Maradene Étienne

Maradene Étienne272 - copie.jpgCANAL DU MIDI 6 JOURS DE BONHEUR

Auteur : Étienne Maradene

Un “non-sportif“ de 57 ans, amoureux du Canal du Midi, décide de le longer à vélo et à son rythme en 6 jours.

Mai 2008, temps pluvieux en ce début du mois de mai. Mais j’ai fermement dans l’idée de « faire » le Canal du Midi à vélo.

Au fil des ans j’ai lu quelques livres sur cet ouvrage magnifique, exploit technique à son époque 1666, 14 ans de construction, l’intelligence, la foi, l’opiniâtreté de Pierre Paul Riquet pour réaliser ce que les Romains envisageaient déjà ! Un énorme raccourci ! plus besoin d’aller tourner au loin autour de l’Espagne, de payer à Gibraltar et de risquer sa vie aux mains de pirates à l’affût. Je voulais voir de près ce morceau d’histoire.

-2010- 70 pages - www.thebookedition.com - collection : l’autre bout du monde.

Prix : 6.57 €

 

Lire la suite

03/03/2010 | Lien permanent

Tournadre Guillemette

 

cyclotourismeFranchir le canal du Midi – Les ponts sur la Grande Retenue.

(guide culturel et touristique pour de belles balades à vélo)

Auteur : Guillemette Tournadre

Le canal du Midi, inauguré en mai 1681 a représenté un défi technique majeur que Pierre Paul Riquet a relevé sans pouvoir en connaître le terme. La voie d’eau devait permettre de développer le commerce intérieur et apporter la prospérité aux campagnes traversées. Le canal long de 240 Km, s’étend de Toulouse à l’étang de Thau. Il représente une coupure physique majeure dans le paysage, coupant en deux le Languedoc.

Les premiers ponts sont construits dans la tradition médiévale, avec un tablier au dos d’âne très prononcé et une arche étroite qui rétrécit fortement le lit du canal au point de gêner parfois la navigation. La fin du XVIIe siècle marque une rupture architecturale profonde où les nouveaux ponts témoignent de la puissance de la Province qui ré

Lire la suite

03/02/2014 | Lien permanent

Vant André

cyclotourismeLe cycle en région stéphanoise, un siècle de savoir-faire

Auteur : André Vant

C’est à Saint-Étienne, « capitale française du cycle », qu’aurait été fabriquée la première bicyclette française, en 1886. L’essor de cette industrie, lié à une tradition métallurgique ancienne, doit beaucoup à l’armurier Étienne Mimard, fondateur de la société « Hirondelle » et précurseur de la production industrielle de cycles, et à Paul de Vivie , dit Vélocio, « apôtre » du cyclotourisme. Des années 1920 considérées comme l’âge d’or de l’industrie du cycle à Saint-Étienne, aux années 1970, on assiste au développement des grandes firmes telles que Manufrance, Ravat ou Automoto puis Mercier. Ces entreprises assoient leur notoriété grâce à des innovations techniques ou par le biais d’une implication active  dans les domaines phare de la pratique cycliste que sont la compétition sportive et le cyclotourisme.

 Renommée de Saint-Étienne auprès des constructeurs français : dérailleurs Cyclo, pédaliers Strongligh

Lire la suite

03/07/2014 | Lien permanent

Page : 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19