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De Bigault de Cazanove Laura

on-a-vole-le-maillot-jaune-laura-de-bigault-de-cazanove.jpgOn a volé le maillot jaune !

Auteure : Laura de Bigault de Cazanove

 

Le cent-unième Tour de France est annoncé. Cette épreuve qui promettait d’être l’une des plus belles de toute l’histoire du cyclisme, est assombrie par le vol du maillot jaune. Qui a osé s’en prendre à ce mythe ? En cette année commémorative à plus d’un titre, le vol est vécu comme un sacrilège.
Le commissaire Odile, aidé de Mériot l’envoyé de la Fédération, vont-ils découvrir à temps le voleur et faire reprendre sa place au fameux maillot ? Et comme un malheur n’arrive jamais seul, se greffe à cet acte crapuleux des sabotages à répétition…
Le Tour va-t-il résister à cette avalanche de malchance ?

Cette fiction se veut d’être avant tout un hommage à un mythe qui a traversé les frontières et le temps pour la plus grande gloire du deux roues…

 

2014212 pagesLes Éditions du Net

Prix : 12 €

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19/02/2020 | Lien permanent

De Perrodil Édouard

           Perrodil-Les cactus364 - copie.jpg

À travers les cactus
Traversée de l’Algérie à bicyclette

Auteur : Édouard de Perrodil

 

 La traversée de l’Algérie à bicyclette, je dois le reconnaître, que l’idée d’entreprendre cette expédition m’avait été suggérée par un journaliste algérien, M. Mallebay, que j’avais rencontré à Paris et qui occupe une situation importante dans la presse de la colonie.
Du jour où le projet du voyage fut arrêté, M. Mallbay, directeur non seulement du Vélo algérien, mais aussi du Turco et de la Revue algérienne, se mit en quatre pour préparer l’expédition et nous frayer les voies.
Il lança des avis dans les clubs cyclistes, soit directement, soit par le canal de la presse algérienne et il eut une idée originale pour nous faire bien venir, dans la mesure du possible, des populations européennes ou arabes, il voulut que ma charge fût faite dans son journal le Turco.
M. Mallebay, qui s’était si complètement dévoué pour nous, ne se fit pas faute de nous donner, avant notre départ, les plus précieux avis.
- Attention à la chaleur, me dit-il, gare à la traversée de la plaine du Chélif. Puis gare les poussiéreuses fondrières creusées par les troupeaux nombreux qui parcourent les routes algériennes Je vous avoue même, que je ne vous vois pas bien franchissant ce désert brûlant dans la journée. Jamais vous n’y parviendrez, mes pauvres amis ; c’est impossible, au mois de septembre, jamais ! La chaleur y bat encore son plein. Surtout si vous avez le sirocco. C’est en février ou en mars qu’il faut faire un pareil trajet...
- Vous croyez ? Pourtant je connais les précautions à prendre...

 

1896 - 321 pages - Ernest Flammarion, Éditeur

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19/12/2008 | Lien permanent

De Perrodil Édouard

rééd.Perrodil080.jpgVélo ! Toro !
Paris - Madrid à bicyclette 1893

Auteur : Édouard de Perrodil
Dessins : Henri Farman

 

 Sur la route, au départ de Paris le 25 juin 1893, deux aventuriers des temps modernes s’apprêtent à affronter le vent, la pluie, la chaleur, les fringales et les crampes, le manque de sommeil, les routes défoncées… Et le mauvais vin.
Plus proches des artistes de cirque ou des Pieds Nickelés que des idoles d’aujourd’hui, nos deux héros se répartissent les rôles pour raconter ce drame qui n’en est pas un. Le journaliste-cycliste Édouard de Perrodil tient la plume dans un style héroïcomique à la fois épique et burlesque.
Son compagnon de route, qui illustre l’épopée, a un joli coup de pédale, un bon coup de crayon et un nom qui restera dans l’histoire de l’aviation : Henri Farman.
En route pour une semaine cycliste d’une autre époque !

 

2006 - 257 pages - Le Pas d'oiseau

Prix : 20 € +  frais de port

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21/12/2008 | Lien permanent

De Lamare Béatrice et Laurent

De Lamare B er L.208 - copie.jpgCycle Story

 Auteur.e.s : Béatrice et Laurent De Lamare

 

1 couple - 2 vélos - 2 ans de voyage - 30 000 km au compteur.
Par les quatre saisons, leur récit vivant nous emmène à la découverte des autres, autour du bassin méditerranéen. Béatrice et Laurent effectuent un retour aux sources au Maghreb où ils reçoivent un accueil fraternel et inoubliable, tout comme au Moyen-Orient. Cette hospitalité dans la plus pure tradition musulmane balaye bien des préjugés occidentaux.
Ensuite ils pédalent depuis la grouillante Inde du Sud jusqu’à la quiétude de l’Himalaya népalais, où ils effectuent un trekking autour du massif de l’Annapurna.
 Nous les retrouvons enfin dans les grands espaces solitaires sud-américains, de la Pampa argentine au Désert d’Atacama par les pistes boliviennes et andines.
Casser le rythme et partir, tout le monde en a eu envie un jour. Avec une once d’audace, beaucoup d’enthousiasme... et de chance, ils ont réalisé ce rêve qu’ils vous invitent à partager à travers les lignes de “Cycle Story“.

 

1991 - 147 pages - Autoédition

Livre lu et apprécié par le comité de lecture du blog

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25/12/2008 | Lien permanent

Amicis DE, Edmondo

Amicis de, Edmondo736.jpgLa tentation de la bicyclette

Auteur : Edmondo De Amicis

«  Je dis les amertumes que me procura la bicyclette, afin d’apporter, je l’espère, un réconfort à ceux qui les ont éprouvées, et pour aider les autres à les éviter ou à s’en libérer. »

Lorsque l’on sait qu’aller à bicyclette développe la maturité intellectuelle et dissout la mélancolie, lorsque le monde entier sombre dans le péché vélocipédique, lorsque résister est un pénible combat... comment ne pas céder à La Tentation de la bicyclette ?

Texte en français, a paru sous le titre La Tentazione della bicicletta, dans Pagine allegre, Treves, Milan, en 1906.

-2009- 45 pages - Les Éditions du sonneur - www.editionsdusonneur.com

Prix : 5 €

 

 

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17/03/2009 | Lien permanent

De Villers Max

cyclotourismeBabylone nous voilà !

Paris - Béring - New York 

Auteur : Max de Villers

Accomplir le tour de l’hémisphère Nord à vélo, avec une équipe de quatre personnes, de Paris à New York en passant par le détroit de Béring, avec pour thématique : “l’adaptation des populations locales aux contraintes environnementales et historiques : les peuples oubliés de l’ex- URSS“. Soit une étude sur les conséquences des gigantesques politiques d’aménagement du régime soviétique sur l’environnement et sur les hommes dans des régions désertiques (réalisés grâce à la mise à contribution de nos diverses compétences d’éco-biologiste, de linguiste, de journaliste, de politologue...) : le delta du Danube, la mer d’Aral, Turpan, le lac Baïkal, l’extrême nord-est sibérien et l’Alaska. Les passages par la Chine du nord-ouest et l’Alaska permettront d’établir des points de comparaison entre les différentes politiques.

 “ Le jour du départ, un lundi 26 septembre 2005 ensoleillé, voici donc quels étaient la situation, le projet, nos espoirs, en fin ce que racontait le dossier, quoi : Dedans, on pouvait y lire que nous nous appuyions sur un budget total d’à peu près 42 000 €, financé à 25% par divers sponsors (principalement Accor, mais aussi CTN, Issy-Les-Moulineaux, des particuliers, des ristournes chez des fabricants...). Que nous comptions partir vingt-et-un mois. Parcourir 30.000 Km le long du nord de l’hémisphère Nord. Affronter deux hivers et non des moindres. Détail marrant aussi, nous prévoyions, après le premier hiver, de profiter du dégel en Sibérie pour remonter le plus près possible du détroit de Béring. Te dire si nous étions motivés, persuadés que rien ne pourrait entraver notre superbe chevauchée. Nous allions plonger au cœur de l’enfer, le vaincre, et en faisant des blagues, encore !  « Paris - Béring - New York », c’était le nom du projet. « Les Branques », c’était le surnom qu’on se donnait dans notre intimité, lors de rares instants de lucidité. Mais tu veux la vérité ? Si tu crois pas à ce genre de délire avant de partir, tu pars pas. Point à la ligne.“      - Max de Villers -

-2008- 208 pages - Éditions : TheBookEditions.com

 Prix : 16 €

- Livre lu et apprécié par le comité de lecture du blog -

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Courtivron de Sophie

 


cyclotourismeLE NEZ AU VENT

Un tour du Monde à pied, à bicyclette, en bateau...

Auteur : Sophie de Courtivron

Sans prendre l’avion, une voyageuse solitaire fait le tour de la terre. À pied (3000 Km), à bicyclette (5000 Km), en train, en bateau... et avec sur le dos, seulement dix kilos. Car, pour se fondre avec les âmes et les paysages, il faut être léger : un chapeau, un bâton et... c’est parti pour un an et neuf mois de vadrouille. De la France quittée à pied jusqu’à Budapest, en passant par les affres du froid sibérien et le cagnard de l’Amérique centrale, du confort d’un cargo sur le Pacifique au mal de mer sur l’Atlantique, ce récit enthousiaste et enlevé raconte les dépits, les engouements, les frousses, la fatigue de la baroudeuse, mais par-dessus tout la joie omniprésente de la découverte.

Sophie de Courtivron a trente et un ans quand elle lève l’ancre. Si dame Nature, généreuse et implacable, lui en a fait voir de toutes les couleurs, l’homme, que son ingénuité a toujours abordé avec un naturel désarmant, s’est montré clément et magnanime. Téméraire, elle entraîne le lecteur aussi loin des sentiers battus que des lieux communs, ignorant la langue de bois et la pensée convenue. Ce témoignage sincère et brut de décoffrage fleure une fraîcheur d’esprit et une originalité assumé, qui sont les traits de la voyageuse comme de la narratrice.

-2010- 454 pages - Éditions Les 2 Encres - Collection encres lointaines.        Tél. 02.41.56.57.30 -  www.les2encres.net

Prix :29 €

Livre lu et apprécié par le comité de lecture du blog

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De Perrodil Édouard

cyclotourismeA vol de vélo
De Paris à Vienne

Auteur : Édouard de Perrodil

 

Aventures de deux recordmen de Paris à Vienne

Le 23 avril 1894 était la date fixée pour le voyage à bicyclette que j’avais résolu d’accomplir de Paris à Vienne, en Autriche, avec un de mes amis, Louis Willaume, jeune secrétaire de l’ambassade d’Angleterre à Paris. Cette date était certainement mal choisie ; en avril, en effet, la bonne saison est encore peu avancée et dans les région montagneuses de la Bavière, les pluies étaient  à craindre.
Quand on s’engage dans une entreprise de ce genre qui oblige à traverser plusieurs contrées étrangères, il est une foule de difficultés qu’il faut aplanir d’avance si l’on veut n’être pas constamment arrêté dans sa marche en avant ; parmi ces difficultés celle des douanes n’était assurément pas la moindre.
L’itinéraire que j’avais tracé passait par Château-Thierry, Nancy, Strasbourg, Stuttgart, Ulm et Lintz., j’avais fixé le point de départ place de la Concorde.

                                                                              É. De Perrodil

1895 - 330 pages - Ernest Flammarion, Éditeur

 

Le livre " A vol de vélo " est consultable en ligne sur le site Gallica.

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11/02/2013 | Lien permanent

Henry de Monfreid

cyclourismeCombat

L'envers de l'aventure

Auteur : Henry de Monfreid

Septième tome d'une série de 10 récits autobiographiques regroupés sous le titre « L'envers de l’aventure », Combat nous entraîne dans l'adolescence de l'auteur des « Secrets de la Mer rouge », de son entrée en internat à l'âge de 12 ans jusqu'à son baccalauréat, époque à laquelle il va découvrir les joies de la bicyclette et en relater son expérience dans ce volume.

En récompense de ses bonnes notes, Henry se voit offrir une bicyclette, une lourde machine de vingt kilogrammes à caoutchoucs creux, dernier perfectionnement avant le pneumatique. Tout de suite, il se voit entreprendre le tour du monde, il fait la course avec le train sur une distance de 90 km en 5 heures et arrive avant sa mère...

Il faut dire qu'il a de qui tenir : son père, George Daniel, confident de Gauguin, est un prosélyte de ce nouveau sport, il se rend régulièrement de Paris dans le Roussillon et voyage en E

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08/02/2015 | Lien permanent

De Perrodil Édouard

cyclotourisme

À travers les cactus
Traversée de l’Algérie à bicyclette (1895)

Auteur : Édouard De Perrodil
Préface de Jacques Seray

 

Volontiers désigné comme le poète à bicyclette, Édouard de Perrodil, rédacteur-cycliste au Petit Journal et au Figaro, était, à l’instar de Jarry, un inconditionnel de la « petite reine ». On lui doit d’autres ouvrages sur ses pérégrinations cyclistes dont le très remarqué Vélo ! Toro ! De Paris à Madrid à bicyclette, en 1893.
À travers les Cactus, le récit de sa traversée de l’Algérie en duo, à la fin du XIXe siècle, est intéressant à plus d’un titre. D’abord, par le côté sportif et la performance indiscutable consistant à parcourir le pays d’ouest en est, dans le sirocco et la chaleur étouffante de la campagne et des plateaux algériens, sur des machines qui étaient loin à l’époque d’avoir les atouts de nos bicyclettes contemporaines. Ensuite, par le côté pittoresque, exotique. Première traversée de l’Algérie en 1895 par deux Occidentaux, ce récit, met en scène deux individus atypiques : Van Marke, jeune belge atteint d’une foudroyante métamorphose - il devient alors totalement amorphe - dès qu’il descend de machine, et son mentor Édouard de Perrodil, espèce de reporter-gentleman à bicyclette, catholique et bien élevé, qui nous fait découvrir une Algérie où les colons sont légions et l’indigène encore loin d’avoir acquis l’estime à laquelle il pourrait prétendre. Enfin, l’ouvrage a beau être un récit d’aventures divertissant, c’est aussi un récit avec la vision étroite et peu reluisante d’un métropolitain découvrant l’indigène arabe dans la France coloniale. Et même si l’on reconnaît à Perrodil ses diverses qualités d’aventurier et de littérateur voyageur, on ne peut que regretter sa vision teintée d’un antisémitisme détestable et d’un racisme primaire face à l’Arabe autochtone, certains passages, avec notre vision éclairée d’Européen du XXIe siècle, pouvant sembler d’une impardonnable légèreté.
C’est donc à double titre que ce livre est un document intéressant : il ravira à la fois les amoureux de la « petite reine », les amateurs de voyages originaux au long cours et ceux qui estiment qu’un récit, fût-il, d’un vélocipédiste naguère célébré, peut parfois en dire long sur les mœurs et les idées d’une époque révolue.


Commentaire de Jean-Yves MOUNIER
Il faut avant tout voir ce récit comme un témoignage de l'époque, comme la vision d'un Français bien français confronté à d'autres réalités, à d'autres valeurs mais sûr de sa supériorité, de la vérité de ses pensées et de ses valeurs humaines. 

Alors que les cyclos voyageurs actuels partent pour la plupart à la recherche des différences, ont soif de découvertes et d'enrichissement mutuel, Édouard de Perrodil parcourt les routes – ou ce qui pourrait s'en rapprocher – du haut de sa supériorité d’occidental – en jetant un regard méprisant sur les êtres rencontrés, forcément différents, forcément inférieurs, oubliant par trop que cette « infériorité » était entretenue par le pouvoir en place dans un souci d'hégémonie dont l'Histoire montrera qu'il ne pouvait que conduire à une impasse.

Comme Hergé dans « Tintin au Congo », l'auteur se fait le témoin des erreurs de son époque, il en est même le porte-parole et il pourra toujours lui être reproché de ne pas avoir véhiculé dans ses textes, fort lus à son époque, une vision plus positive des autres, juifs et musulmans en tête.
Reste ce témoignage qu'il aurait été dommage de ne pas connaître, ne serait-ce que pour mieux mesurer combien l'Homme peut être un loup pour l'Homme.

 

2011 - 232 pages - Jacques Flament Éditions

Prix : 16,90 €

Livre lu et apprécié par le comité de lecture du blog

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23/01/2016 | Lien permanent

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