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Chaussinand Bernard

Chaussinand Bernard. 02072.jpgJoanny Panel
1887 - 1970
Le Chemineau

Auteur : Bernard Chaussinand

 

Joanny Panel et la bicyclette, c’est d’abord un mariage d’amour qui deviendra au fil du temps un mariage de raison ; une raison d’être.
Cet attachement prend ses racines dans un parcours initiatique à l’École Stéphanoise fondée par Vélocio. Panel sera l’un des plus jeunes compagnons de route du maître, manifestant très tôt des dispositions pour la grande randonnée, qui le conduiront vers l’aventure héroïque du Tour de France, où l’anonyme côtoie le champion.
Panel débute sa carrière à une époque-clé de l’histoire du cycle. Les multiples changements de vitesse, fabriqués en séries limitées pour les machines de tourisme, disparaissent peu à peu pour n’en laisser subsister qu’un seul : le dérailleur. Panel sera l’un des artisans de cette mutation avec le célèbre dérailleur le Chemineau.
Cyclotourisme et cyclisme de compétition deviendront pour Panel, homme de communication, des vecteurs publicitaires permanents, avec comme point d’orgue, les succès du Ligérien Benoît Faure au Tour de France sur bicyclette Chemineau.
En ce temps-là, Saint-Étienne était capitale du cycle…

 

 2004 - 78 pages - Autoédition disponible auprès de l'auteur : Bernard Chaussinand - 42, rue Pétrus Maussier - 42 000 Saint-Étienne

Prix : 13 € + frais de port

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Chaussinand Bernard

Chaussinand Bernard. 01. 071.jpgClaudius Bouillier
1887 - 1957
Pionnier du dérailleur et disciple de Vélocio

Auteur : Bernard Chaussinand

 

 L’histoire du cycle est jonchée de faits marquants. Le concours technique des bicyclettes de tourisme organisé par le Touring Club de France à Tarbes en 1902 en est un.
Le parcours comprenant entre, la double ascension du redoutable col du Tourmalet, mit en lumière les insuffisances mais aussi les espoirs dans la diversité des changements de vitesse équipant les machines.
Les constructeurs stéphanois étaient déjà représentés : Hirondelle, Automoto… Mais devancés cependant par la maison dijonnaise Terrot. Il en sera de même au concours des Alpes en 1905, où Terrot partagera sa médaille d’or avec la société Magnat-Debon.
Au concours des Vosges en 1920, s’amorcera un changement notoire, le leadership de la bicyclette de tourisme passera en terre stéphanoise. Vélocio, inlassable prêcheur de la “polymultépliée“ avait fait des émules. Certains d’entre deux acquirent une notoriété méritée ; d’autres demeurèrent dans l’ombre. C’est l’un d’eux, auteur de brevets d’invention sue les changements de vitesse qui feront le bonheur des constructeurs stéphanois, que je vous propose de découvrir. Son nom : Claudius Bouillier.
Bouillier, inventeur, propagandiste, mais aussi randonneur accompli, formé aux doctrines de l’École Stéphanoise, a vécu les grandes manifestations cyclotouristes de son époque.
Suivons pas à pas l’évolution des perfectionnements qu’il apporta à ce merveilleux instrument qu’est la bicyclette et “prenons sa roue“ pour revivre avec lui, ces pédalées où le plaisir du sport et du tourisme s’y mêlent agréablement.

 

 2002 - 62 pages - Autoédition disponible auprès de l'auteur : Bernard Chaussinand : 42, rue Pétrus Maussier - 42 000 Saint-Étienne

Prix : 12 € + frais de port

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Chaussinand Bernard

cyclotourismeL’industrie du cycle à Saint-Étienne
et dans le bassin de la Loire

Auteur : Bernard Chaussinand

 

Commentaire de Jean-Yves MOUNIER
Bernard Chaussinand nous parle d'un temps que les moins de 30 ans ne peuvent pas connaître ; d'un temps où les pédales portaient la marque « Lyotard », d'un temps où la simple évocation de « Maxicar » allumait des étoiles dans les yeux des cyclistes, d'un temps où une grande partie des accessoires des bicyclettes, de randonnée ou de course provenaient de Saint-Étienne, capitale française du cycle à défaut d'en être la capitale du cyclisme... Titre que la cité stéphanoise perdra dans les années 60 malgré une stratégie de résistance qui perdurera jusque dans les années récentes qui virent l'avènement du matériel venue d'Asie.
C'est cette histoire, faite de moments de gloire – l'équipement par une société stéphanoise de la Compagnie cycliste de la Garde républicaine par exemple - et de crise profonde - conduisant à la quasi disparition des marques locales, celles subsistant ayant été rachetées par de grands groupes – que nous relate avec précision et talent l'auteur.

Dans cet ouvrage, comme dans les précédents présentés sur ce blog, dédiés aux pionniers du dérailleur que furent Claudius Bouillier et Joanny Planel, l'auteur agrémente son passionnant récit d'une maquette très aérée et d'une riche iconographie tout à fait remarquable pour un livre auto-édité qui séduira sans conteste tous les amateurs de bicyclette en général et de matériel en particulier. 
N'attendez pas trop pour vous procurer cet indispensable travail d'historien amoureux de la Petite Reine, les publications de B. Chaussinand étant généralement vite épuisées.

 

2014 - 169 pages - Autoédition disponible auprès de l'auteur : Bernard Chaussinand – 42, rue Pétrus Maussier – 42 000 Saint-Étienne.

Prix : 24,35 €

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Chaussinand Bernard

Mercier-couverture.JPGLes établissements stéphanois Mercier
Cycle et cyclisme, un cocktail réussi

Auteur : Bernard Chaussinand

 

La ville de Saint-Étienne est riche d’une tradition industrielle d’importance, avec, entres autres, la métallurgie. Celle-ci a préparé un terreau favorable à deux secteurs d’activité complémentaires par leur saisonnalité : l’armurerie et le cycle.
Concernant ce dernier, des pionniers ouvrirent la voie dans les années 1890, puis des entreprises éminentes prirent le relais, accompagnées par de nombreux artisans mécaniciens qui se spécialisèrent dans la fabrication de pièces détachées.
Au lendemain de la guerre 1914 / 1918, quelques audacieux poursuivirent cet élan et fondèrent leur propre entreprise. C’est ainsi que naquit la société Mercier. Celle-ci aborda ce segment d’activité en se spécialisant dans la construction de cadres et n’entreprendra la fabrication de bicyclettes complètes que beaucoup plus tard.
Ce secteur d’activité souffrait néanmoins de reconnaissance et pour y remédier, Émile Mercier eut l’idée d’avoir recours aux champions cyclistes pour promouvoir ses produits, imitant ainsi la grande maison stéphanoise Automoto qui, dans les années 1925, posséda la meilleure équipe du monde, ce qui, naturellement amplifia sa notoriété.

 

2022136 pagesAutoédition disponible auprès de l'auteur : Bernard Chaussinand, 42 rue Pétrus Maussier, 42 000 Saint-Étienne, ☎ 04 77 37 65 11

Prix : 17 € + frais de port

 

Voir également les précédentes publications de Bernard Chaussinand présentées sur ce blog.

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17/01/2023 | Lien permanent

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