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De Perrodil Édouard

           Perrodil-Les cactus364 - copie.jpg

À travers les cactus
Traversée de l’Algérie à bicyclette

Auteur : Édouard de Perrodil

 

 La traversée de l’Algérie à bicyclette, je dois le reconnaître, que l’idée d’entreprendre cette expédition m’avait été suggérée par un journaliste algérien, M. Mallebay, que j’avais rencontré à Paris et qui occupe une situation importante dans la presse de la colonie.
Du jour où le projet du voyage fut arrêté, M. Mallbay, directeur non seulement du Vélo algérien, mais aussi du Turco et de la Revue algérienne, se mit en quatre pour préparer l’expédition et nous frayer les voies.
Il lança des avis dans les clubs cyclistes, soit directement, soit par le canal de la presse algérienne et il eut une idée originale pour nous faire bien venir, dans la mesure du possible, des populations européennes ou arabes, il voulut que ma charge fût faite dans son journal le Turco.
M. Mallebay, qui s’était si complètement dévoué pour nous, ne se fit pas faute de nous donner, avant notre départ, les plus précieux avis.
- Attention à la chaleur, me dit-il, gare à la traversée de la plaine du Chélif. Puis gare les poussiéreuses fondrières creusées par les troupeaux nombreux qui parcourent les routes algériennes Je vous avoue même, que je ne vous vois pas bien franchissant ce désert brûlant dans la journée. Jamais vous n’y parviendrez, mes pauvres amis ; c’est impossible, au mois de septembre, jamais ! La chaleur y bat encore son plein. Surtout si vous avez le sirocco. C’est en février ou en mars qu’il faut faire un pareil trajet...
- Vous croyez ? Pourtant je connais les précautions à prendre...

 

1896 - 321 pages - Ernest Flammarion, Éditeur

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19/12/2008 | Lien permanent

De Perrodil Édouard

rééd.Perrodil080.jpgVélo ! Toro !
Paris - Madrid à bicyclette 1893

Auteur : Édouard de Perrodil
Dessins : Henri Farman

 

 Sur la route, au départ de Paris le 25 juin 1893, deux aventuriers des temps modernes s’apprêtent à affronter le vent, la pluie, la chaleur, les fringales et les crampes, le manque de sommeil, les routes défoncées… Et le mauvais vin.
Plus proches des artistes de cirque ou des Pieds Nickelés que des idoles d’aujourd’hui, nos deux héros se répartissent les rôles pour raconter ce drame qui n’en est pas un. Le journaliste-cycliste Édouard de Perrodil tient la plume dans un style héroïcomique à la fois épique et burlesque.
Son compagnon de route, qui illustre l’épopée, a un joli coup de pédale, un bon coup de crayon et un nom qui restera dans l’histoire de l’aviation : Henri Farman.
En route pour une semaine cycliste d’une autre époque !

 

2006 - 257 pages - Le Pas d'oiseau

Prix : 20 € +  frais de port

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21/12/2008 | Lien permanent

De Perrodil Édouard

cyclotourismeA vol de vélo
De Paris à Vienne

Auteur : Édouard de Perrodil

 

Aventures de deux recordmen de Paris à Vienne

Le 23 avril 1894 était la date fixée pour le voyage à bicyclette que j’avais résolu d’accomplir de Paris à Vienne, en Autriche, avec un de mes amis, Louis Willaume, jeune secrétaire de l’ambassade d’Angleterre à Paris. Cette date était certainement mal choisie ; en avril, en effet, la bonne saison est encore peu avancée et dans les région montagneuses de la Bavière, les pluies étaient  à craindre.
Quand on s’engage dans une entreprise de ce genre qui oblige à traverser plusieurs contrées étrangères, il est une foule de difficultés qu’il faut aplanir d’avance si l’on veut n’être pas constamment arrêté dans sa marche en avant ; parmi ces difficultés celle des douanes n’était assurément pas la moindre.
L’itinéraire que j’avais tracé passait par Château-Thierry, Nancy, Strasbourg, Stuttgart, Ulm et Lintz., j’avais fixé le point de départ place de la Concorde.

                                                                              É. De Perrodil

1895 - 330 pages - Ernest Flammarion, Éditeur

 

Le livre " A vol de vélo " est consultable en ligne sur le site Gallica.

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11/02/2013 | Lien permanent

De Perrodil Édouard

cyclotourisme

À travers les cactus
Traversée de l’Algérie à bicyclette (1895)

Auteur : Édouard De Perrodil
Préface de Jacques Seray

 

Volontiers désigné comme le poète à bicyclette, Édouard de Perrodil, rédacteur-cycliste au Petit Journal et au Figaro, était, à l’instar de Jarry, un inconditionnel de la « petite reine ». On lui doit d’autres ouvrages sur ses pérégrinations cyclistes dont le très remarqué Vélo ! Toro ! De Paris à Madrid à bicyclette, en 1893.
À travers les Cactus, le récit de sa traversée de l’Algérie en duo, à la fin du XIXe siècle, est intéressant à plus d’un titre. D’abord, par le côté sportif et la performance indiscutable consistant à parcourir le pays d’ouest en est, dans le sirocco et la chaleur étouffante de la campagne et des plateaux algériens, sur des machines qui étaient loin à l’époque d’avoir les atouts de nos bicyclettes contemporaines. Ensuite, par le côté pittoresque, exotique. Première traversée de l’Algérie en 1895 par deux Occidentaux, ce récit, met en scène deux individus atypiques : Van Marke, jeune belge atteint d’une foudroyante métamorphose - il devient alors totalement amorphe - dès qu’il descend de machine, et son mentor Édouard de Perrodil, espèce de reporter-gentleman à bicyclette, catholique et bien élevé, qui nous fait découvrir une Algérie où les colons sont légions et l’indigène encore loin d’avoir acquis l’estime à laquelle il pourrait prétendre. Enfin, l’ouvrage a beau être un récit d’aventures divertissant, c’est aussi un récit avec la vision étroite et peu reluisante d’un métropolitain découvrant l’indigène arabe dans la France coloniale. Et même si l’on reconnaît à Perrodil ses diverses qualités d’aventurier et de littérateur voyageur, on ne peut que regretter sa vision teintée d’un antisémitisme détestable et d’un racisme primaire face à l’Arabe autochtone, certains passages, avec notre vision éclairée d’Européen du XXIe siècle, pouvant sembler d’une impardonnable légèreté.
C’est donc à double titre que ce livre est un document intéressant : il ravira à la fois les amoureux de la « petite reine », les amateurs de voyages originaux au long cours et ceux qui estiment qu’un récit, fût-il, d’un vélocipédiste naguère célébré, peut parfois en dire long sur les mœurs et les idées d’une époque révolue.


Commentaire de Jean-Yves MOUNIER
Il faut avant tout voir ce récit comme un témoignage de l'époque, comme la vision d'un Français bien français confronté à d'autres réalités, à d'autres valeurs mais sûr de sa supériorité, de la vérité de ses pensées et de ses valeurs humaines. 

Alors que les cyclos voyageurs actuels partent pour la plupart à la recherche des différences, ont soif de découvertes et d'enrichissement mutuel, Édouard de Perrodil parcourt les routes – ou ce qui pourrait s'en rapprocher – du haut de sa supériorité d’occidental – en jetant un regard méprisant sur les êtres rencontrés, forcément différents, forcément inférieurs, oubliant par trop que cette « infériorité » était entretenue par le pouvoir en place dans un souci d'hégémonie dont l'Histoire montrera qu'il ne pouvait que conduire à une impasse.

Comme Hergé dans « Tintin au Congo », l'auteur se fait le témoin des erreurs de son époque, il en est même le porte-parole et il pourra toujours lui être reproché de ne pas avoir véhiculé dans ses textes, fort lus à son époque, une vision plus positive des autres, juifs et musulmans en tête.
Reste ce témoignage qu'il aurait été dommage de ne pas connaître, ne serait-ce que pour mieux mesurer combien l'Homme peut être un loup pour l'Homme.

 

2011 - 232 pages - Jacques Flament Éditions

Prix : 16,90 €

Livre lu et apprécié par le comité de lecture du blog

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23/01/2016 | Lien permanent

De Perrodil Édouard

Briseurs-couverture.jpgLes briseurs de chaînes
De Paris à Milan par la Côte d'Azur et le passage des Alpes à bicyclette

Auteur : Édouard de Perrodil

 

Critique du livre parue dans « La Lanterne » du 13 mars 1898

Notre excellent confrère Edouard de Perrodil continue la publication de ses voyages à travers l'Europe.
Les Briseurs de chaînes qui paraît aujourd'hui chez Flammarion est le dernier de cette série, brillamment marquée par Vélo-Toro à vol de vélo, A travers les Cactus.
Cette fois ce n'est pas dans des pays neufs et quasi-inexplorés à bicyclette que l'auteur nous emmène. C'est tout bonnement de Paris à Milan avec un fort crochet par Marseille et la Côte d'Azur. Mais cette traversée à bicyclette d'un pays des plus civilisés n'est pas moins curieuse par les réflexions qu'elle provoque dans le cerveau d'un homme capable à la fois de cycler sur un aussi long parcours et de penser sur la route.
La traversée des Alpes entre autres a inspiré à notre confrère plusieurs pages à la fois intéressantes et neuves. Une fois de plus l'artiste a vécu de la vie large et saine des grandes routes et il nous en a rapporté l'écho fidèle qui vibre d'une façon assez inattendue mais pleine de charme puissant et sauvage, dans l'atmosphère surchauffée du Paris d'aujourd'hui.

Briseurs-Table.jpg
Édouard de Perrodil a effectué ce voyage avec Dominique Lamberjack sur bicyclette acatène, d'où le titre de son récit.

Résumé proposé par Michel Merejkowsky
Les étapes : Auxerre, Chanceaux (Côte-d'Or), Lyon, Montélimar, Marseille, Le Muy, Cannes, Nice, Saint-Delmas de Tende, Turin, Milan.
Édouard de Perrodil âgé de 35 ans prend le départ de ce voyage le samedi 13 avril 1895 au Café Arago, siège du Guidon Parisien, place de la Nation à Paris.
Il utilise une acatène mise au point par Blin.
Monsieur de Tauzia est chargé comme "suivant" de le retrouver à chaque étape. Édouard de Perrodil est accompagné par Van Hymbeck dit "Vanhy" au début. Il sera ensuite accompagné par Dominique Lamberjack.
Le Docteur Léon Petit l'accompagne aussi sur une partie de la première étape.
Plusieurs rencontres en route sont rapportées en particulier celle avec Pierre Giffard, avec qui il évoque un repas au cours d'une caravane cycliste de Paris aux plages normandes.
Le vent aura été très pénible pendant une grande partie du voyage. Tandem et triplette viendront l'accompagner en offrant un certain abri. La météo sera bien peu clémente sur la Côte d'Azur.
Les quelques pannes mécaniques ne sont pas du tout détaillées.

 

1898271 pagesErnest Flammarion, Éditeur

 

Merci à Henri Bosc, Michel Merejkowsky et Jacques Seray qui nous ont aidés à l'élaboration de cette fiche.

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Faveau Antony & F.

Art de vaincre à vélo couvertures.jpg

L'art de vaincre à vélo

Auteurs : Antony & F. Fauveau
Préface : Édouard de Perrodil
Conseils d'un médecin : Dr H. Bresson

 

Table des matières
Préface
Avant-propos
L'homme
La machine
Habillement
Le régime
L'entraînement
Courses et tactique
Conseils d'un médecin
L'hiver

 

1894120 pagesImprimerie Cassegrain, Paris

 

Fiche réalisée avec le concours de Michel Merejkowsy que nous remercions chaleureusement.
Le Collectosaure nous signale que les deux éditions présentées ci-dessus sont strictement identiques, hormis la couleur de couverture.

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05/04/2022 | Lien permanent

Fabre Paul

 

Fantaisies-couverture.jpgFantaisies cyclistes

Auteur : Paul Fabre

Extraits de l'avant-propos 

Le vélo est frère de l'épopée, il donne naissance à de grandes fresques, à de belles envolées, à des narrations superbes et enflammées ; les premiers récits des pionniers cyclistes (Alcide Bouzigues, Édouard de Perrodil, et tant d'autres, du docteur Ruffier jusqu'à un certain Eddius), autant que les articles ou livres de nos journalistes sportifs, nous montrent un vélo souvent héroïque, toujours exalté, incontournable porteur d'aventures extraordinaires et de chevauchées fantastiques. […]

Et pourtant... Pourtant, si l'on veut donner à ce que l'on aime (en l’occurrence le vélo) un peu de la lumière qui justifie cet amour, il faudra bien trouver un moyen de dire la réelle profondeur de l'attachement qu'on lui porte.

Et là, on n'a guère le choix, me semble-t-il, qu'entre la vérité toute nue qui appauvrit la passion que l'on voudrait exalter et l'invention épique que lui donnera la dimensions sans laquelle le réel serait laissé ou réduit à sa seule existence, autant dire à sa bien banale banalité [...].

2016 – 74 pages – Éditeur : Gilbert Jaccon

Disponible chez l'imprimeur Lulu.com

 Prix : 8 € HT

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25/10/2016 | Lien permanent

Fabre Paul

 Moi, mon truc-couverture.jpgMoi, mon truc, c'était le vélo

Auteur : Paul Fabre

 

Ce livre rassemble 50 articles sur la pratique de la randonnée à bicyclette telle qu'elle fut vécue durant quarante années par l'auteur. Articles tous publiés dans différentes revues - Cyclotourisme, Petit Diagonaliste, Le Randonneur, Six cent Cinquante ou Gardarem Larzac Aventure, sous le nom de Paul Fabre ou de son pseudo Eddius.

Extraits de l'avant-propos :

[...] J’ai donc retenu cinquante textes, que j’ai classés en rubriques. La première de ces rubriques, c’est le Souvenir, le rappel de ceux que nous avons côtoyés sur notre route et qui nous ont quittés ; à eux l’honneur d’ouvrir le volume. Vient ensuite la rubrique des Grands Espaces, qui évoque le plaisir que j’ai goûté en pratiquant la grande randonnée, cette aventure qui permet, pour parler comme Édouard de Perrodil, de « kilométrer ». Après cette évocation, le Rêve propose de s’évader un peu du chemin couru pour mieux en apprécier le charme, en laissant l’esprit vagabonder librement ; les Rendez-vous prennent ensuite le relais, afin de garder en mémoire ces moments privilégiés où on va amicalement à la rencontre de l’autre ; suivent ensuite les incontournables Petites Folies d’Eddius, avec ses idées toutes faites, ses hyperboles, ses sottises et sa prétention, autant de choses que Paul Fabre a su abandonner de temps en temps pour prendre position, ici ou là, sur les questions qui touchent notre pratique et que les Débats proposent. Enfin, la Nostalgie nous conduit à cette « fin de cycle » qu’évoque le poème qui clôt le livre.[...]

 

2017 – 226 pages - Éditeur  Gilbert Jaccon

Disponible chez l'imprimeur Lulu.com.

Prix : 15 € HT

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04/02/2017 | Lien permanent

Martin Maurice

Grande enquête sportive-couverture.jpegGrande enquête sportive du journal « Le Vélo »
8 300 kilomètres à bicyclette

Auteur : Maurice Martin
Préface : Édouard de Perrodil
Plan de voyage : Pierre Giffard

 

Extraits de la préface
[…] Enfourchez-la donc, pessimistes, voyageurs mélancoliques, qui fuyaient le démon de l'ennui ou du doute, rêveurs spleenétiques, pour qui tout est énigmatique, fermé et sans vertu réconfortante, enfourchez-la, et par le constant labeur de votre organisme, par la lutte parfois héroïque qu'il vous faudra soutenir contre les difficultés du chemin, vous les sentirez les sèves reconstituantes, bouillonner, monter et du physique se transfuser dans votre moral, par ce lien mystérieux dont la recherche mit aux abois la divine intelligence de l'auteur de la MÉTHODE.
Car la bicyclette est vraiment l'élément de vie nouvelle qui chassera les vapeurs âcres dont les cerveaux contemporains sont encore alourdis ; elle est le talisman inattendu qui forcera l'homme à descendre de son piédestal de rêveur immobile pour reconquérir, par son propre effort le monde et ses merveilles. […]

 

1898358 pagesE. Broucherioux éditeur

Cet ouvrage est disponible en téléchargement sur Gallica, la bibliothèque numérique de la BNF.

De Maurice Martin, on relira avec profit « Août 1889 Voyage de Bordeaux à Paris par trois vélocipédistes » présenté sur ce blog.
Voir également la fiche Wikipédia dédiée.

 

Merci à Laurent Vigniel, animateur de l'excellent site « Vélotextes »  pour nous avoir signalé cette numérisation.

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10/03/2020 | Lien permanent

Collectif

RLM-couverture.jpgÀ plume et à pédales. Voyages cyclistes
La Revue des lettres modernes, série Voyages contemporains n° 4

Auteur : Collectif
sous la direction de Raphaël Piguet

 

 - R. Piguet, « Introduction. En roue libre ».
- G. Bastide, « Précyclule ».
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P. Antoine, « Un homme, une revue, un art du voyage. Vélocio et Le Cycliste (1887-1930) ».
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C. Piot, « Le souffle épique de la littérature de voyage à vélo au service de l’engagement politique ? L’exemple méconnu d’Édouard de Perrodil (1860-1931) ».
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M. Toppano, « Les premiers récits de voyages cyclistes en Italie (fin XIXe – début XXe). Immersion dans le réel ou échappées littéraires ? ».
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H. Dubail, « Les roues de l’infortune. Récits cyclistes humo­ristiques » .
-
L. Nizard, « Bicyclette et sexualité féminine dans les discours sociaux de la Belle-Époque ».
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A. Dupont-Kieffer et A. Krykun, « La bicyclette s’en va-t-en guerre. Les récits de voyage à vélo dans la France des années 1940 ».
- -
L. Carvigan- Cassin, « La bicyclette, instrument hétérotopique. L’entraînement poétique d’une machine à écrire ».
-
S. Messing, « Le Japon à vélo. Expérience spatiale, de la tête aux pieds ».
 -
G. Louÿs, « Le corps à l’ouvrage. Contribution à une poétique de l’effort cycliste ».
-
L. Bischoff, « “La cadence effrénée de la route”. La vitesse réhabilitée par Emmanuel Ruben et Jean-Acier Danès ».
-
R. Piguet, « Le vélo et la mort. Autopsie d’une passion cycliste ».
-
C. Marthaler, « En résonance avec le monde ».

 

2022290 pagesClassiques Garnier

Prix : 38 €

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11/04/2022 | Lien permanent

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