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25/03/2016

Barrabès Patrick

cyclotourisme

La bicyclette Motobécane de mon père

Auteur : Patrick Barrabès

 

Motobécane, c’est la Mobylette ! Pourtant, à l’ombre de ce symbole français du cyclomoteur, les bicyclettes (30% de la production) suivaient en parallèle la route des motorisés.
C’est en 1933 à Pantin que cette histoire commence, avec la création d’une marque de cycles. Dans cet ouvrage, vous découvrez quatre-vingts ans d’histoire de ces bicyclettes qui vont marquer, par leurs qualités, des générations de Français. Vélos d’enfants, pour former des « graines de cyclistes », vélos d’adultes, alternative aux problèmes de circulation, depuis nos villes jusqu’aux avenues new-yorkaises où rouler Motobécane est un gage de french touch.
De 1933 à MBK, découvrez au fil des pages le vélo suspendu de 1933, précurseur des VTC, la bicyclette BMX de 1938, dont le dessin a inspiré la Mobylette, et les nombreuses études qui ont défriché la route vers le vélo contemporain. Bien loin de la froideur des descriptions techniques, cet ouvrage fourmille d’anecdotes, d’histoires et... de petits récits autour des vélos de Pantin.
Il vous permettra de les découvrir et, pourquoi pas, de vous inciter à sauver une de ces belles bicyclettes « de chez nous ».

 

2016 - 120 pagesÉditions ETAI

Prix : 29,90 €

18:03 Écrit par Biblio-cycles dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (1) |  Imprimer

20/03/2016

Van Rijn Frank

cyclotourisme Frank van Rijn

www.frankvanrijn.nl/.webloc

www.frankvanrijn.nl/?pa#217B5F5

Frank van Rijn (21/4/1948) is de meest beroemde fietser van Nederland. Al tientallen jaren onderneemt Frank de meest exotische fietstochten naar alle uithoeken van de wereld, bij voorkeur over ongebaande wegen en helemaal selfsupporting.

Inmiddels heeft hij in 40 jaar al meer dan 500.000 Km op de teller staan en is al meerdere keren de wereld rond geweest. Zijn droge humor en meeslepende reisverhalen hebben ervoor gezorgd dat zijn boeken al meer dan 50.000 keer zijn verkocht.

Frank van Rijn (21/4/1948) est le cycliste le plus célèbre des Pays-Bas. Depuis plusieurs décennies, Frank fait des randonnées à vélo des plus aventureuses vers tous les coins de la planète, de préférence en dehors des chemins battus et en autonomie totale.

En 40 ans il a accumulé plus de 500 000 km au compteur et fait plusieurs fois le tour du monde. Grâce à son humour pince-sans-rire et ses récits de voyage passionnants ses livres se sont déjà vendus à plus de 50 000 exemplaires.

À ce jour, l’auteur a écrit 14 récits de voyages publiés par Uigeverij Elmar :

“Aan de voet van de Tour de Madeloc“ : Voyages à travers l’Afrique, l’Amérique du Nord et l’Amérique centrale.

Traduction français : Édith Van Der Mijl.

 cyclotourisme “Pelgrims en pepers“ : Un voyage en Asie. (Traduit en anglais).

 

 

 

 

cyclotourisme “Revanche in de Andes“ : Nouvelle édition “Duizend en één redenen om terug te gaan naar Zuid-Amerika“ : Mille et une raisons pour retourner en Amérique du Sud.

 

 

 

cyclotourisme “De rode kangoeroe“ : Aventures d’un voyageur en Australie.

 

 

 

 

cyclotourisme “De twee scherven“ : Un voyage à la découverte de la Chine.

 

 

 

 

cyclotourisme “De zuilen van Axum“ : Un voyage hivernal en Éthiopie.

 

 

 

 

cyclotourisme “De poort van de maan“ : Et autres récits de voyage.

 

 

 

 

cyclotourisme “Door Sahara en Sahel“ : Un voyage dans le désert en Afrique.

 

 

 

 

cyclotourisme “Knipoog van het nijlpaard“ : Une traversée d’Afrique de Dar-es-salaam à Dakar.

 

 

 

cyclotourisme “De gouden capuchon“ : Un voyage à travers l’Asie Centrale et le Tibet.

 

 

 

 

cyclotourisme “In de ban van Stempelstan“ : Un voyage en Asie Centrale.

 

 

 

 

cyclotourisme “De dikke baobab“ : En voyage à Madagascar.

 

 

 

 

cyclotourisme “Even naar de eveaar“ : Un voyage au Kenya et Ouganda.

 

 

 

 

cyclotourisme “De hanen van de koning“ : Un voyage en Thaïlande, Laos et Cambodge.

 

 

06:23 Écrit par Biblio-cycles dans Histoire, Tour du Monde | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer

Beau Jules - Cazentre Thomas

 

cyclotourisme PETITE REINE – Fous du vélo

Auteur : Thomas Cazentre

Photographies de Jules Beau

Pionnier de la photographie sportive, Jules Beau, actif à Paris de 1894 à 1913, avait archivé ses tirages dans trente-six albums, constitués au fur et à mesure des séances de poses en atelier et des reportages. Après la Première Guerre mondiale, il travailla comme archiviste au Touring-Club de France, auquel il laissa ses albums. Ces témoignages exceptionnels de la vie sportive à la Belle Époque entrèrent dans les collections de la Bibliothèque nationale en 1976 par don, avec l’ensemble des collections iconographiques du T.C.F.

Les œuvres reproduites dans cet ouvrage sont issues des collections de la Bibliothèque nationale de France.

Les clichés ont été réalisés par le département de la Reproduction (reproduction@bnf.fr).

2016- 46 pages - http://editions.bnf.fr/petite-reine

 Prix : 6.90 €

05:17 Écrit par Biblio-cycles dans Histoire, Photographies | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer

28/02/2016

Bourlet Carlo

cyclotourisme Traité des bicycles et bicyclettes

Suivi d’une Application à la construction des vélodromes

Auteur : Carlo Bourlet (1866 – 1913)

 

Extraits de la préface

Les ouvrages sur la théorie mathématique du Bicycle et les applications qu'on peut en tirer sont actuellement peu nombreux. Le premier en date est La théorie du Vélocipède de M. J.  Macquorn Rankine qui a été traduite par Viollet et a paru à la librairie Gauthier-Villars, en 1870, dans la collection de l'abbé Moigno. […] Le second intitulé Essai théorique et pratique sur le véhicule bicycle a été présenté sous forme de mémoire par M. Marchegay au Congrès de Lyon de 1873 de l'Association française pour l'avancement des sciences. […]

Mon but a été de calculer pour les constructeurs de bicyclettes ou les architectes de vélodromes des formules qui puissent leur servir et d'expliquer aux bicyclistes curieux de connaître le pourquoi des choses, les raisons mécaniques de la possibilité de l'équilibre et de la marche en bicycle.

Je me considérerai suffisamment récompensé de mes efforts si les applications développées dans ce volume ont pu être de quelque utilité pratique. […]

 

1894 – 232 pagesGauthier-Villars et fils - Masson (Paris)

Disponible en téléchargement sur Iris, la bibliothèque numérique en histoire des sciences de l'université Lille 1.

25/02/2016

Gréau Claude - Mogat-Sebastien Gisèle

cyclotourisme Eugène Gréau – Le grand Gégène – Cet illustre inconnu

Auteurs : Claude Gréau - Gisèle Mogat-Sébastien

Extraits de la 4e de couverture

Ce rapide survol de la carrière sportive d'Eugène Gréau, nous plonge dans les compétitions des années 1920, un monde à « des années-lumière » du cyclisme d'aujourd'hui.

Extraits de l' « épilogue »

Ce livre raconte la vie d'un homme simple qui marqua de son empreinte l'histoire de sa région natale, du Tour de France ainsi que de la résistance, tout en lui rendant hommage.

Dans les années 1920, période pendant laquelle il participa aux courses cyclistes, « le grand gégène » parcourait 140 km à vélo de La Chapelle-Saint-Laurent où il habitait dans les Deux-Sèvres jusqu'à La Broussardière de Chaniers, près de Saintes en Charente-Maritime, pour rejoindre la maison de son oncle Ferdinand Gréau et de sa tante Mélina.

« Ugène » repartait le lendemain avec des œufs durs dans la poche de son maillot que lui préparait sa tante pour le retour.

Commentaire de Jean-Yves Mounier

Bien qu'éloigné du voyage à vélo, le « héros » de cette petite biographie mérite cependant d'être mieux connu, ne serait-ce que pour rendre hommage au champion qu'il fut mais aussi au résistant qu'il est devenu lors de la Seconde Guerre mondiale, engagement qui lui coûtera la vie en 1943 à l'âge de 39 ans. L'ambiance de l'époque est également bien resituée à travers ce personnage qui devient vite attachant.

2015 – 108 pages – Association Coup de Pouce, 5 place Saint-Pierre, 17610 Chaniers Assoc.coup-de-pouce@laposte.net

Prix : 10 € + 2,80 € frais de port

14/02/2016

Huttier Raymond

cyclotourisme Le roman de la bicyclette

Du célérifère au vélo moderne

Auteur : Raymond Huttier

Extraits de la préface par André Leducq

« Une bonne idée vraiment qu'a eue l'ami Raymond Huttier – un journaliste qui, depuis plus de trente ans, suit les courses cyclistes et m'a escorté dans ma longue carrière – d'intituler son livre le « Roman de la bicyclette »...

Moi, en tout cas, j'avoue que je l'ai dévoré comme un véritable roman... et je suis bien sûr que vous en ferez autant.

Le sujet pouvait paraître quelque peu ingrat : mais Raymond Huttier, fourrant son grand nez pointu dans des tas de vieux documents, plongeant son œil fureter dans de poussiéreux dossiers, rassemblant force anecdotes savoureuses et truffant le tout de sagaces réflexions personnelles, a brossé une histoire du vélo qui a le double mérite d'être très claire et fort attrayante. »

Commentaire de Jean-Yves Mounier

Faisant démarrer sa recherche dans la lointaine Antiquité, l'auteur n'échappera pas à l'erreur désormais bien établie de confondre célérifère et ancêtre de la bicyclette, une pure invention de Baudry de Saunier à une époque où il ne faisait pas bon faire l'apologie d'un baron allemand et de sa curieuse machine à courir...

Explorant chaque progrès technique de la petite reine – le passage mettant en concurrence Michaux et Lallement pour l' « invention » de la pédale dénote une bonne connaissance du sujet -, Raymond Huttier fait un point précis des connaissances de son époque, agrémente son propos de dessins ou autres photos et la présence à l'intérieur du livre de nombreuses publicités lui confère un certain charme historique.

À lire donc pour rafraîchir ses connaissances en la matière et se conforter dans l'idée que dans le domaine de la bicyclette, tout a déjà été imaginé, l'auteur terminant son livre par l'évocation de la bicyclette « motorisée » qui ne sera pas sans rappeler le succès actuel des vélos à assistance électrique !

1951 – 139 pages – J. Susse

29/01/2016

Matherat Pierre

cyclotourisme Exode

Auteur : Pierre Matherat

À six heures un grand cri s’élève : « Alerte » Déjà des gens courent dans les champs, je lève la tête, des avions avec des croix noires s’avancent sur nous. Vite nous sautons et nous nous couchons dans le fossé : il était temps, le crépitement des mitrailleuses avait commencé. Les avions au nombre de huit passent au dessus de nos têtes en nous bombardant et en nous mitraillant...

Ce récit de l’exode de juin 1940 a été écrit par un jeune homme de 15 ans. Avec sa mère et sa tante, à bicyclette, comme des millions d’autres ils fuyaient, poussée par l’avance de l’armée allemande.

2013- 72 pages – Éditions Tsémah – http://tsemah.fr/  

Prix : 9 €

 

09:52 Écrit par Biblio-cycles dans France, Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer

10/12/2015

Norcliffe Glen

cyclotourisme Critical Géographies of Cycling – History, Political Économy and Culture

Auteur : Glen Norcliffe

Préface : This book presents a collection of 11 connected thematic essays. They are not intended, however, to tell a sequential tale, indeed they weave chronologically from the past to the présent and back again so that the reader may choose to read them according to individual interest without losing the thread. But they are connected by themes, by their critical stance, and their interrogation of cycle and related cycling activities. For the appearance of this book I have to thank primarily Ron Buliung at the University of Toronto, who in 2013 created a graduate course on “Geographies of Cycling“. He kindly asked me to talk to his class, and then pressed me as to how he could obtain a number of the essays that I had published. The answer was “with difficulty“, in many cases because they were published in the annual Proceedings og the International Cycle History Conference which are not widely available. Perhaps it was obvious, but it took a few weeks for the point to sink in, and then a light bulb came on and I asked Ashgate, who have an interest in both transportation and geography, whether there would be any benefit in bringing these fugitive essays together, along with a few articles I have published in more accessible journals, plus two new essays, an opening chapter to present an overview, and the final chapter to offer a geographical viewpoint on the current battle for the street. It must have been providence that guided my letter to Ashgate into the hands of their editor for Human Geography, Katy Crossan, who responded favourably to the proposal and has since patiently and creatively guide dit through various steps and hurdles.

It was also my good fortune that I was a Visiting Fellow at Fitzwilliam College, Cambridge at this time (Michaelmas Term, 2013) which allowed me to disconnect myself from many other activities and focus exclusively on research and writing. I thank the Master and Fellows of the College for this privilege. In the process, I relearned the pleasures of cycling around Britain’s most cycling friendly city, and have been able to incorporate a few of the lessons learned there into the text. But that is a recent event whereas participants at the annual International Cycling History Conference, which I have attended most years for the past two decades, have informed me about many aspects of cycling on which I was quite ill-informed, and critiqued early drafts of a number of the essays presented here. Like many other participants I have to thank Nick Clayton for launching that Conference 25 years ago.

To my mind one of the hallmarks of geography is the need to get out of our armchairs and observe things for ourselves. And if the object of our inquiry is no longer around, we seek out what people living at that time saw and wrote about it. This is not, however, a plea for rampant empiricism : theory informs the best geographical work, necessarily so since many of the key processe creating the landscape such as flows of capital, power relation, and social dynamics are often concealed . And those theoretical underpinnings need in turn to be confirmed by observing the real world : praxis and theory, and theory and praxis.

I have taken the opportunity to lightly revise the essays, and in one or two cases added cyclotourisme additional comment. Mostly, however, I have shortened them and dropped some of the bookish phrasing that deadens academic prose. But they do all pursue the post-structural position in viewing understandings of the bicycle as contingent upon time and place, which presents a great opportunity for geographers. The result is that widespread processes such as the rise of the E-bike, the Cyclists’ Rights Movement, and the globalization of bicycle making need to be interpreted in different ways in different places.

Naming everyone who helped with the writing of these essays over a 20 year period is not possible, there have deen simply too many, so I hope they will accept this broad thank-you. I am grateful to my co-authors for permitting the reproduction of essays already published. Many friends have ridden with me on long rides in Europe and North America passing on their wisdom in such brilliant places as Lithuania , and again I offer my appreciation for these extended lessons Ron Miller helped me solve mechanical problems beyond my competence and Dave Brown and many others kept me smiling when the weather turned against us. I hope that the wisdom passed on by so many friends has resulted in essays that provide insight as well as enjoyment.

2015- 275 pages, relié, format 15,9 X 23,5 – Editeur : Ashgate Publisshing Limited – Collection : Tranport and Society. http://www.ashgate.com/default.aspx?page=637&title_id...

 

cyclotourisme

De gauche à droit : Stuart Mason-Elliott, Glen Norcliffe, Carey Williams, Gilles Tamagne, Alain Cuvier, Dominique Lefébvre, Keizo Kobayashi.

Départ du Paris -Avigon le 8 août 2015, rue Jean Goujon à paris pour commémorer le 150ème anniversaire du premier voyage à vélo du monde par les frères Olivier et Georges de la Bouglise en 1865.

 

 

03/12/2015

Gurian Roberto

cyclotourisme

                           VÉLO – Les modèles d’hier, d’aujourd’hui et de demain

Auteur : Roberto Gurian

Aucun autre véhicule n’est aussi démocratique que le vélo : il peut être commun ou aristocratique, abordable ou coûteux, selon le modèle et l’utilisation pour laquelle il a été conçu. Cet ouvrage superbement illustré retrace l’histoire de cet indémodable moyen de transport : depuis les premiers vélocipèdes du 19ème siècle aux articles en titane, en passant par les vélos des premières dames, sans compter l’évolution des matériaux et des cyclotourisme technologies. Le livre rend aussi hommage aux principaux vélos de course qui ont marqué l’histoire du cyclisme, apportant le succès à d’éminents champions. Enfin, un chapitre entier est dédié aux articles tout-terrain, qui se sont taillé une place de choix sur le marché des vélos, engendrant la création de divers sports de compétition.

Voici donc un magnifique ouvrage de référence pour les passionnés de la pédale... et les curieux !

2015- 272 pages –format : 31,5 X 27,5 cm – Éditeur : Sélection Reader’s Digest - www.groupemodus.com/livre/livre/v%C3%A9lo.html...

Prix : 29,95 €

 

20/11/2015

Guivarch François

cyclotourisme LES JOHNNIES de ROSCOFF

Auteur : François Guivarch

L’oignon rosé – qui est la spécificité de la région de Roscoff a été apporté du Portugal au 17ème siècle, par un moine capucin qui apprit à ses voisins du couvent de Roscoff à cultiver cet oignon doux, parfumé, fondant à la cuisson. En 1828, un cultivateur de Roscoff, Henni Ollivier, eut l’idée de charger une gabarre de ces oignons pour aller les vendre en Angleterre. Ce fut le début d’un commerce qui s’est poursuivi jusqu’à nos jours ? Comment se faisait ce commerce ? Qui étaient ces marchant d’oignons qu’on appelait “JOHNNIES“ ? Le commerce de l’oignon rose de Roscoff en Grande-Bretagne.

L’organisation de la vente, les oignon étaient tressés en “bottes“ de 3 à 4 kilos enfilées sur un bâton porté à l’épaule. Les tresses étaient faites par des « botteleurs » dans un « magasin » servant à la fois d’entrepôt pour les oignons et de logement pour les botteleurs et vendeurs. L’ensemble decyclotourisme ces hommes constituait une « compagnie » dirigée par un « master » : le chef. Ces compagnies pouvaient avant la guerre de 1914 comporter jusqu’à 60 hommes. Après 1920, les compagnies se réduisirent à moins de 10 hommes et jeunes gens commençant à 12, puis 14 ans La bicyclette qui se développa dans les années 30 libéra les épaules des Johnnies et popularisa leur images : béret, sourire et oignon ruisselant cri chapelets sur les guidons – qui portaient jusqu’à 150 kilos d’oignons. Des camions ou « lorries » facilitèrent plus tard cette vente « à la chine » directement auprès des ménagères britanniques qui acceptaient de payer plus cher cet oignon breton eu égard à sa qualité gustative et à sa bonne conservation.

cyclotourisme Le métier de Johnny toujours cependant difficile et qui conduisait chaque année à une séparation des familles de 6 mois – de juillet à janvier – se justifiait dans les premiers temps par une nécessité de survies. Entre 1920 et 1930, on a pu cependant parier d’un « âge d’or ».

Déjà au début de 20ème siècle les hommes du pays de Roscoff, Saint Pol de Léon, avaient couvert toute la Grande-Bretagne : Pays de galles, Angleterre,
Ecosse en vendant leurs oignon de porte en porte. Les Anglais émus par le jeune âge de beaucoup d’entre eux – 9/10 ans – les appelèrent “JOHNNY“ :  «  petit jean » et les marchands d’oignons se sont appropriés le nom en s’appelant eux-mêmes : « AR JOHNNIGED » - les JOHNNIES.

1979- 195 pages – Éditions : Nature et Bretagne

cyclotourisme

Livre lu et apprécié par le comité de lecture du blog  

14/11/2015

Astié Charles


cyclotourisme Musée Virtuel du Vélocipède “1817-2000“

Auteur : Charles Astier

Ce musée virtuel séduira par l’esthétisme de ses nombreuses illustrations commentées, aussi bien le lecteur ; simple visiteur, que le réalisateur de maquettes qui sera aidé par des ensembles trois vues. L’auteur ; homme de bureau d’études, artiste confirmé, ayant parcouru des milliers de kilomètres... à vélo, retrace ici l’évolution technique du vélocipède, le moyen de transport mû par la force humaine, le plus utilisé datas le monde entier. Ce livre est un vrai musée que vous pourrez visiter en parcourant le temps de 1817 et nos jours. Une soixantaine de machines sont représentées alliant rigueur technique et beauté des illustrations ; chacune est accompagné d’explications techniques et historiques succinctes, depuis la première machine à courir du Baron Karl Drais en passant par les machines à leviers, celles à pédales de Michaux, suivies des grands bi, tricycles, dicycles, monocycles, quadricycles et jusqu’à la bicyclette. La fin de la visite est consacrée aux carénages futuristes sculptés par les designers italiens.

Biographie : Charles Astié, est un passionné du sport cycliste. Dès sa jeunesse il pratique le cyclotourisme. A l’issue de ses études, il entre à l’actuelle EADS où il fait carrière dans les Bureaux d’Etudes, se consacrant aux Djin, Caravelle, Concorde, Airbus et ATR . Une fois retraité, il s’inscrit à l’école des Beaux Arts de Toulouse qu’il fréquente pendant cinq années. Il participe a de nombreuses expositions et récolte de nombreux prix. Par la suite il a l’idée d’étudier de manière plus approfondie l’histoire de la bicyclette sur le plan technique. La selle est alors remplacée par un fauteuil plus confortable, et le guidon par une souris déplaçant un point lumineux sur un écran d’ordinateur. Ainsi fut conçu et naquit ce livre.

2003- 175 pages – Éditions Cépaduès - http://www.cepadues.com/auteur/Astie-Charles/143.html...

Prix : 15 € 

08/11/2015

Guroff Margaret

cyclotourisme The Mechanical Horse : How the Bicycle Reshaped American Life (Discovering America)

Auteur : Margaret Guroff

With cities across the country adding miles of bike lanes and building bikeshare stations, bicycling is enjoying a new of popularity in America. It seems that every generation or two, Americans rediscover the freedom of movement, convenience. And relative affordability of the bicycle. The earliest two-wheeler, the draisine, arrived in Philadelphia in 1819 and astonished onlookers with the possibility of propelling themselves ‘like lightning.’ Two centuries later, the bicycle is still the fastest way to cover ground on gridlocked city streets. Filled with lively stories, The Mechanical Horse reveals how the bicycle transformed American life. As bicycling caught on in the nineteenth century, many of the counytry’s rough, rutted roads were paved for the first time, laying a foundation for the interstate highway system. Cyclists were among the first to see the possibilities of self-directed, long-distance travel, and some of them (including a fellow named Henry Ford) went on to develop the automobile. Women shed their cumbersome Victorian dresses as well as their restricted gender roles, so they could ride. And which helped to modernize medicine. Margaret Guroff demonstrates that the bicycle’s story is really the story of a more mobile America, one in which physical mobilility has opened wider horizons of thought and new opportunities for people in all avenues of life.

2016- 216 pages – Publisher University of Texas Press – http://www.amazon.com/The-Mechanical-Horse-Reshaped-Disco...

Prix : 19,56 $

07/11/2015

McCullough Robert L.

 

cyclotourisme Old Wheelways

TRACES OF BICYCLE HISTORY ON THE LAND

Auteur : Robert L. McCullough

In the later part of the nineteenth century, American bicycliste were explorers, cycling through both charted and uncharted territory. These wheelmen and wheelwomen became keen observers of suburban and rural landscapes, and left copious records of their journeys – in travel narratives, journalism, maps, photographs, illustrations. They were also instrumental in the construction of roads and paths (wheelways) – building them, funding them, and lobbying legislators for them. Their explorations shaped the landscape and the way we look at it, yet with few exceptions their writings have been largely overlooked by landscape scholars, and many of the paths cyclists cleared have disappeared. In Old Wheelways, Robert McCullough restores the pioneering cyclists of the nineteenth century to the history of American landscapes. McCullough recounts marathon cycling trips around the Northeast undertaken by hardy cyclists, who then describe their journeys in such magazine as The Wheelman Illustrated and Bicycling World, the work of illustrators (including Childe Hassam, before his fame as a painter), efforts by cyclists to build better rural roads and bicycle paths, and conflicts with park planners, including the famous Olmsted firm, who often opposed separate paths for bicycles. Today’s ubiquitous bicycle lanes owe their origins to nineteenth century version, including New York City’s ‘asphalt ribbons.’ Long before there were ‘rails to trails,’there was a movement to adapt existing passageways – including aqueduct corridors, trolley rights-of-way, and canal towpaths – for bicycling. The campaigns for wheelways, McCullough piont out, offer a prologue to nearly every obstacle faced by those advocating bicycle paths and lanes today. McCullough’s text is enrichep by more than one hundred historic images of cyclists (often attired in skirts and bonnets, suits and ties), country lanes, and city streets.

2015- 384 pages – Éditions Mit Pr - http://www.amazon.com/Old-Wheelways-Traces-Bicycle-Histor...

Prix : 25,86 $

20/10/2015

Dufresne Didier

cyclotourisme La guerre sur le porte-bagages 1940

Auteur : Didier Dufresne

Septembre 1939, l’Allemagne déclare la guerre à la France. Marguerite Comparot vit à Troyes avec ses parents et son frère Maurice. Elle devient témoin de cette guerre sans combats que les journaux appellent la « Drôle de guerre ».

Mai 1940, l’armée allemande bombarde les environs de Troyes. C’est le début de la « Campagne de France » qui marque la fin de la « Drôle de guerre ». L’Allemagne est victorieuse et Marguerite voit sa ville traversée par les populations fuyant l’avance ennemie.

Juin 1940, l’armée allemande s’approche de Troyes. Pour Marguerite, comme pour des millions de Français, vient alors le moment de l’Exode. Marguerite et sa famille enfourchent leurs vélos et quittent tout pour traverser une partie de la France. Ce voyage de plus de 400 kilomètres en vélo sur des routes encombrées de millions de réfugiés va les conduire de Troyes à Aubusson, dans la Creuse où une généreuse famille les accueillera dans leur ferme. Marguerite fera la connaissance d’Andrée, une fille de son âge. Ce sera le début d’une très longue et belle amitié.

2015- 104 pages – Éditions Oskar – collection : Histoire & Société.

Prix : 9,45 €

 

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10/10/2015

Ladève Roland

cyclotourisme Le cyclisme dans les Côtes-d’Armor
à la fin du siècle dernier

Auteur : Roland Ladève
Préface : Bernard Hinault

 

Grâce à Roland Ladève, historien du cyclisme, partez à la découverte d’un pionnier de la petite reine, Ludovic Morin, en réalité à l’état civil Louis Jules Paul Morin, né à Saint-Brieuc le 25 août 1877, a été en son temps une idole et sa notoriété était sans doute supérieure à celle des champions d’aujourd’hui.
Morin a remporté le Grand Prix de Paris en 1895, 1896, cette année-là en présence du président de la République de l’époque Félix Faure, et en 1897 ; et détail peu connu, il est sans doute le premier coureur cycliste à qui un livre a été consacré. Les conseils donnés aux cyclistes de la fin du siècle dernier vous feront sans doute sourire...

 

1990 – 192 pagesAutoédition 

09:06 Écrit par Biblio-cycles dans Bretagne, Histoire | Lien permanent | Commentaires (1) |  Imprimer

30/06/2015

MAINE Découvertes n°13 - juin - août - 1997

cyclotourisme

DOSSIER : Du grand “bi“ au V.T.T. : L’aventure vélocipédique dans le Maine.

1997 – 80 pages – MAINE Découvertes – n°13 – juin – août 1997.

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Courteline Georges

Courteline-couverture.jpgAh ! Jeunesse et autres contes
La première leçon – Le phénomène – 2 textes parfois regroupés en « Quand je pédalais »

Auteur : Georges Courteline
Illustrations de Wanner

 

Pas simple de retrouver la trace de ces écrits dans lesquels l’auteur de « Messieurs les ronds-de-cuir » nous relate d'une part sa première leçon de vélocipédiste débutant, d'autre part, dans un registre plus imaginatif, la supercherie d'un pseudo novice à bicyclette qui, en payant une soi disant première leçon, feint des dispositions particulières en la matière […] afin de se payer la satisfaction d'étonner la galerie et de se concilier des admirations...
Dans ces 2 courts textes publiés d'abord dans des revues datant de la fin des années 1890 (La première leçon, 1896 dans La Revue illustrée), puis repris dans différentes « anthologies » de Courteline, celui-ci recrée l'ambiance des « manèges » de l'époque et des pédalées au Bois de Boulogne, il nous rappelle le rôle de Tristan Bernard, maître en l'art d’écrire le français et agrégé de vélocipède, lequel Tristan, en tant que propriétaire du célèbre vélodrome Buffalo, initia également aux joies de la bicyclette Alphonse Allais, Jules Renard ou encore Alfred Capus.
Un plus dans l'édition présentée ici, de belles illustrations dont un magnifique hors-texte et en couleurs d'un tandem. Courteline-tandem.jpg
Notons enfin que, dans certaines éditions de « La première leçon », Tristan Bernard est présenté comme l'auteur des Pieds Nickelés (texte publié en 1894) alors que dans d'autres plus récentes, il est celui de Un mari pacifique (roman de 1901).

Merci à Noëlle Benhamou d'avoir été la complice de ma curiosité vis à vis de cet auteur et de ses liens avec la bicyclette.

                                       Jean-Yves MOUNIER

 

Sans date – 234 pages – Éditions littéraires de France

À lire en ligne sur Gallica.

03/06/2015

100 years of bicycle posters

cyclotourisme

                        100 YEARS OF BICYCLE POSTERS

 Auteur : Jack Rennert

Texte en anglais, 112 pages, reproductions en couleurs et en noir et blanc , en pleine page.

1973- 112 pages -format In-4 (40,5x28 cm) Éditions Harper & Row, Publishers, New York, Evanston, San Francisco, London.

31/05/2015

Alberny Renaud

cyclotourisme Des grands hommes à vélo.

Auteur : Renaud Alberny

La bicyclette aurait-elle quelque chose à voir avec le génie ?

Saviez-vous que Mark Twain, Arthur Conan Doyle, Emile Zola, Léon Tolstoï, Tristan Bernard, Colette, Henry de Monfreid, Pierre et Marie Curie, Alfred Jarry, Maurice de Vlaminck, Jack London, Aristide Bruant, Lénine, Nicolas II, Alain-Fournier, André Derain, Pu-Yi, Albert Einstein, Lawrence d'Arabie, et Maurice Leblanc avaient en commun, outre leur célébrité, d'être amoureux du vélocipède ?

Au tournant de ce siècle, alors que la bicyclette est en passe de devenir le moyen de locomotion le plus populaire de la planète, les figures du monde des arts et des lettres, des sciences, ou de la politique, pédalent. Adeptes de la petite reine ou maîtres du grand-bi, cyclistes frénétiques ou dilettantes, tous ont sillonné les chemins, écumé les rues, juchés sur une selle montée sur deux roues... A chacun ses motivations : escapade amoureuse, virée dominicale, hygiène sportive, locomotion à moindre frais, amusement...

Documents photographiques à l'appui, Renaud Alberny brosse les portraits vivants et originaux d'une vingtaine de personnages de la Belle Epoque, qui, dans leur pratique du vélo, nous apparaissent sous un jour étonnamment proche.

 

1998 – 139 pages – Photos noir et blanc - Éditions Glénat

27/05/2015

Reynaud Claude

cyclotourisme

L’ère de la draisienne en France. 1818 - 1870

 Auteur : Claude Reynaud

Après près de deux cents ans d'existence, le vélo, objet historique, éclaire de manière originale les métamorphoses de la société. On peut le voir comme un révélateur de la culture populaire. S'il est aujourd'hui le moyen de transport le plus répandu sur la planète, il a une histoire, son histoire, qui s’inscrit dans celle de la locomotion terrestre.

Il est établi aujourd'hui qu'elle s'articule en quatre étapes bien distinctes : les draisiennes, les vélocipèdes à pédales puis les grands bis et enfin les bicyclettes. L'histoire des draisiennes, objet de ce livre, était jusqu'alors concentrée sur l'Allemagne avec celles du baron Drais […] et sur l'Angleterre au travers des hobby-horses de Denis Johnson. La place de notre pays durant cette période 1817-1819 était réduite […] à quelques démonstrations de machines de Drais à Paris en 1818 et à l’utilisation d'une draisienne française par Niepce la même année. […]

Cette bipolarisation Allemagne – Angleterre laissait une toute petite place à la France en cette courte période […]. Jusqu'ici l'on s'est peu soucié de ces machines françaises qualifiées d’artisanales et de vagues copies de celles du baron Drais […]

Un des buts de cet ouvrage sera donc de les étudier en détail mais aussi dans leur ensemble, leur recensement aujourd'hui le permettant. Autre objectif, celui de les replacer dans leur contexte. […]

                                                                  Extraits de l'introduction

2015 – 298 pages – Éditions Musée Vélo-Moto de Domazan

Pour vous procurer ce livre, contacter chateaudebosc@wanadoo.fr

www.chateau-de-bosc.com

Prix : 66,50 €, port compris. Tirage limité à 200 exemplaires.

 

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25/05/2015

Cadiou Georges

cyclotourisme Les pionniers du cyclisme breton
De 1869 à 1939

Auteur : Georges Cadiou

 

En fin spécialiste, Georges Cadiou raconte l’épopée des pionniers, de la démocratisation du cyclisme aux premières courses vélocipédiques. Une évolution sur des décennies fondatrices, jalonnées par l’émergence de grandes figures : Charles Terront, Pierre Cloarec, Ferdinand Le Drogo, ou encore Lucien Petit-Breton...
Retour sur les premiers forçats de la route qui ont enflammé les foules dès la fin du XIXe siècle, sur des itinéraires non bitumés, hébergés dans des granges entre deux étapes épiques.
On revit la naissance des plus grandes courses, du Paris-Brest au Tour de France, en passant par les critériums ou la piste reine. Records et palmarès, sponsoring, médiatisations, innovations techniques... et jusqu’aux premiers cas de dopage !
Une chronique de la riche histoire du cyclisme, ponctué d’anecdotes et illustrée de documents inédits.

 

2015 - 192 pages - Locus Solus

Prix : 22 €

14:05 Écrit par Biblio-cycles dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer

18/04/2015

Schwinn Bicycle Company

cyclourismeNO HANDS – The Rise and Fall of the Schwinn Bicycle Company, an American Institution

Auteurs : Judith Crown – Glenn Coleman

Langue : Anglais

Retour sur l'une des plus emblématiques marques américaines de vélo...

Pour des générations d'américains, il n'y avait pas de meilleur vélo qu'un Schwinn.

La compagnie, fondée en 1895 par Adolph Arnold et Ignaz Schwinn à Chicago (à l'époque nommée « The Arnold, Schwinn & Company of Chicago »), de par sa qualité de conception et son innovation, a eu une influence conséquente sur le marché du cycle nord-américain une bonne partie du XXe siècle.

Ignaz Schwinn, dont le nom de famille est devenu un acronyme de vélo là-bas, arriva aux États-Unis avec pour simple richesse son savoir-faire en terme de manufacture industrielle, acquis en tant qu'ouvrier immigrant apprenti machiniste dans les usines allemandes.

Entre 1900 et 1930, Schwinn a produit approximativement 45 000 vélos chaque année, dans un marché très fluctuant et dont la Grande Dépression a vu de nombreuses usines du secteur fermer leurs portes pour de bon.

L'influence de Frank W. Schwinn va définitivement façonner la manière dont on conçoit un vélo aux États-Unis. Il pousse les fabricants de composants à concevoir des pièces plus solides et plus durables, il introduit les gardes-boues ou encore les fameux pneus ballons.

En 1941, ce sont plus de 340 000 vélos qui sortent des lignes de production Schwinn, et en 1950, un vélo sur quatre fabriqué aux USA est un Schwinn ! Le modèle haut-de-gamme Black Phantom va vite devenir un must-have chez les minots de cette période, avec ses détails chromés et sa garantie à vie.

L'influence de Schwinn a également beaucoup changé la manière de vendre les vélos. En 1948, terminé les vélos vendus dans les grandes chaînes de magasin, Schwinn veut se servir de sa réputation pour vendre autrement. S'en suit alors une politique marketing et commerciale très agressive. La compagnie pousse les détaillants à faire allégeance à leur marque et à vendre exclusivement des modèles Schwinn à leur clientèle. Elle se concentre aussi sur le levier publicitaire, en utilisant les étoiles montantes du moment pour faire la promotion de leurs modèles

1963 voit l'introduction de l'iconique modèle Stingray, une réponse directe au non moins célèbre  Raleigh Chopper qui cartonne chez les jeunes, avec son guidon en hauteur et son siège banane.

 Mais ce succès se révélera malheureusement éphémère. Alors que Schwinn s'imposait comme la marque qui comptait dans les années 70, une usine vieillissante et une direction réticente à embrasser les tendances alors naissantes du BMX et du VTT, auront eu raison de cette réussite.

En 1993, la société est revendue et quittera le marché du vélo haut-de-gamme pour celui de la grande distribution. Pour autant, la marque semble depuis quelques années renaître petit à petit de ses cendres sur le sol US.

Extraits de l'article paru sur le site : Weelz.frhttp://www.weelz.fr/fr/velo-urbain/2015/04/14/histoire-sc...et avec son accord.

Des catalogues de cette marque sont également consultables ici : http://schwinncruisers.com/catalogs/

1996- 350 pages –Éditeur : Henry Holt & Co –

 

27/03/2015

De Smaele Gérard

cyclourismeLe cyclisme dans les livres et les revues
Entre deux expositions universelles (Paris, 1867 – Bruxelles, 1958)... et après

Auteur : Gérard De Smaele
Préface : Keizo Kobayashi et Isabelle Lesens
Postface : Jean Durry

 

Jean Durry (1973) et Keizo Kobayashi (1984), dans la ligne desquels s’inscrit résolument l’auteur, avaient ouvert la voie. Quelque quarante et trente années plus tard, Gérard De Smaele va plus loin. Son exploration cycliste à travers « les livres et les revues » creuse le sujet et l’enrichit.
Car, non seulement il actualise et internationalise une bibliographie déjà abondante, usant avec bonheur des multiples sites offerts désormais par l’outil informatique venu prolonger et compléter la voluptueuse manipulation en première main des originaux des ouvrages – ce qui donne à tous l’accès aux rayons de multiples bibliothèques et collections privées, dont la sienne propre -, mais encore, il la développe et la nourrit chronologiquement, par l’analyse commentée de soixante-trois titres essentiel sur l’histoire du cycle et du cyclisme.
Au-delà d’un remarquable instrument, délibérément « sélectif », pour les chercheurs et les passionnés, ces notices, approfondies et foisonnant de précision inédites, témoignent avec originalité de l’amour d’un cycliste fervent, « quotidien et sincère », pour cette petite merveille qui n’a pas fini de rouler : la bicyclette.

Gérard De Smaele est cycliste dans l’âme car il préfère les sentiers aux autoroutes. C’est le fil rouge d’un parcours de poète opiniâtre et libre. Professeur d’éducation physique, jongleur à ses moments perdus, il se fit musicien par la grâce d’une passion pour le banjo, instrument qu’il connaît par cœur. Poursuivant un itinéraire nomade, il se lança dans la restauration d’œuvres d’art, sans jamais s’éloigner de son banjo ni de son vélo. Atypique ? Pas plus que Maurice de Vlaminck, violoniste qui se mua en cycliste professionnel, avant de devenir peintre. Ainsi va le refrain d’une vie, il faut se perdre souvent pour se trouver.

         Marcel LEROY
Ancien journaliste au journal Le Soir

 

2015 – 292 pages – Éditions l’Harmattan 

Prix : 31 €

Lu et apprécié par le comité de lecture du blog

24/03/2015

Robin Francis

cyclourisme

Première randonnée mondiale à Vélocipède :

           Le Paris-Avignon des Frères OLIVIER et Georges de La Bouglise

                                                    1865                                                                                      

Auteur : Francis ROBIN

Ce dossier de La Vélocithèque N°54 est certainement une gageure : il se propose de reconstituer par l’écriture le premier voyage vélocipédique de l’histoire, voyage qui, au mois d’aout 1865, mena ses auteurs de Paris à Avignon en passant par Lyon et Tullins (Isère). Soit une distance de près de 750 kilomètres parcourus par les deux premiers vélocipédiste du monde : les frères Aimé et René Olivier, associé au départ avec un de leurs compagnons d’études et d’aventure,

Georges de La Bouglise.

Or le récit de ce voyage n’a jamais existé ! Ce qui permet de dire qu’il appartient à la protohistoire plutôt qu’à l’histoire, - sinon à la légende – vélocipédique !

Voilà pourquoi nous parlerons allégoriquement de « palingénésie ». D’autres se sont – vaillamment ! – chargé de redonner vie à l’événement pédales aux pieds, le ressuscitant donc (c’est le sens premier du mot palingénésie) en le renouvelant. Francis Robin, lui, a choisi l’écriture pour l’exhumer du passé et le ramener au jour.

Car l’insolite est que, à notre connaissance, ce voyage d’un genre totalement nouveau, et qui traversait la France du Nord au Sud, passa complètement inaperçu en son temps, aucun des correspondants de la presse locale de l’époque ne daignant lui consacrer la moindre ligne !

A une (essentielle !) exception près, tous les témoignages dont nous disposons sont donc ultérieurs, la plupart de provenance familiale, émanant des auteurs même de cette expédition, ou de leurs proches. Et ils ont souvent un caractère revendicatif qui ne va pas sans susciter, voire nécessiter, une certaine circonspection de la part des observateurs.

Heureusement, deux ou trois ans après le voyage, à l’occasion de la première vague vélocipédique survenue en France (et donc dans le monde), quelques articles de journaux y font allusion. Mais la reconstitution, 150 ans plus tard, de cette moderne « odyssée » n’en reste pas moins elle-même une aventure dans laquelle Francis Robin n’a pas craint de se lancer ! Pour notre plus grand intérêt à tous bien sûr, mais aussi dans celui de la grande histoire du vélo...

Francis Robin ne prétend pas être un nouvel Homère, mais c’est un chercheur scrupuleux, et pour bien garder le cap dans cette équipée, il lui fallait évidemment s’appuyer sur un bon équipement, à savoir les rares archive contemporaine ou de première main, et un bon équipage, celui de La Vélocithèque par exemple ! au sein duquel on doit citer les précieux Keizo Kobayashi, David Herlihy et Bernard Gougaud.

Mais il eut aussi le privilège de rencontrer le soutien de Bruno Olivier  de Sanderval, descendant direct de la dynastie des grands pionniers lyonnais, et décédé depuis, en avril 2013. Un grand merci à eux tous.

Carle résultat est ce dossier, unique en son genre, à la fois document et monument, en hommage aux véritables inventeurs de la Vélocipédie, c’est-à-dire, finalement, aux responsables de l’adoption définitive du vélo par le monde entier, comme solution pratique à tous les usages (transport utilitaire, promenade, voyages, tourisme, loisir, sport...).

A ce titre, nous ne doutons pas que ce fascicule figurera lui aussi (comme le “traité de cyclonymie“ de Francis Robin, dossier N°42 des cahier de Vélocithèque) dans le thésaurus national, voire international, de la bibliographie vélocipédique !

Ce qui justifie largement que nous lui renouvelions ici, au nom de l’association, à la fois notre gratitude et nos félicitations.

Bonne odyssée à tous !                       Gérard Salmon

 

Pour vous procurer ce dossier écrivez : La Vélocithèque – Le Bois – 69590 Pomeys. Courriel : gerard.salmon@worldonline.fr

Prix : 15 € + 3 € de port= 18€

 

Pour commémorer le premier voyage en vélocipède de l’histoire du deux roues dans  le monde du 8 au 23 Août 2015

Alain Cuvier et Keizo kobayashi  vont refaire le même voyage 150 après.

 www.youtube.com/watch?v#1C71A3F

http://velocipedistes.com/liens/

 

22/02/2015

RAPAUD Didier

cyclourismeLes bons mots vélocipédiques

Auteur : Didier Rapaud

Illustrations : Pascal Delage

Ce livre comporte 27 expressions cyclistes (manger la luzerne, avoir le compteur bloqué, faire l’avion, recharger la chaudière, flinguer, chasser la canette, tricoter, fumer la pipe, etc...) avec leur définition et toutes illustrées de caricatures de Pascal Delage, à l’exception de : “faire connaissance de l’homme au marteau “  illustrée par Pellos (j’ai pu obtenir un crédit photographique gratuit). Et mea culpa j’ai commis une erreur historique avec l’histoire des forçats de la route que j ‘ai rectifié avec la parution du livre sur Maurice Garin. Ceci étant, beaucoup de journalistes continuent à la faire.

Pour certaines expressions, j’y ai ajouté des exemples tirés de la légende des cycles.

1995- 79 pages – Autoédition disponible auprès de l'auteur.

Prix : 9,90 €

RAPAUD Didier

cyclourismeL’incroyable épopée de Marseille-Paris 1902

ou l'avant premier Tour de France

Auteur : Didier Rapaud

 

938 kilomètres séparent Marseille de Paris, à courir d’une traite, malgré les tempêtes de neige qui menacent. Mais dès le départ, c’est le drame. Dans la nuit noire, le Belge Charles Kerff est tombé. Un filet de sang s’échappe de son visage. Il meurt à son arrivé à l’hôpital d’Aix-en-Provence. Son frère, également en course, n’apprendra le drame qu’à Paris.

Le premier livre sur la fabuleuse course qui décida Henri Desgrange à lancer le Tour de France.

Car c’est en 1902 que Lucien Lesna, champion héroïque, triomphe dans la seule édition de Marseille-Paris. Derrière, les dégâts sont considérables. Le deuxième, Muller, a sept heures de retard ! Le peloton n’existe lus, laminé par la tempête. Et Charles Kerff est mort, victime d’une terrible chute. « Jamais je n’ai autant souffert », confiera Lesna.

cyclourisme

 

Cependant, la foule l’acclame. C’est un délire. L’Auto-Vélo, le journal organisateur, vend plus de deux millions d’exemplaires en six jours. Comblé, Desgrange peut désormais relever son nouveau défi : la création du Tour de France.

 

2003 – 138 pages – Éditions Cristel.

Prix : 13€ 

RAPAUD Didier

cyclourismeMaurice Garin cet étonnant forçat de la piste

ou la folle épreuve des 24 heures des Arts Libéraux des 2 et 3 février 1895

Auteur : Didier Rapaud

 

Longtemps décrié, le sport vélocipédique est devenu le sport roi de la fin du XIXe siècle. Les courses de grand fond sur piste connaissent leur âge d’or.

Annoncée à grand renfort de publicité, la course des 24 heures des Arts Libéraux des 2 et 3 février 1895 va faire date. Dans le nouveau vélodrome d’hiver où l’on peine à atteindre les 5°, les défaillances sont impressionnantes. Un coureur ? Buffel, en perd même provisoirement la vue. La résistance humaine a atteint ses limites et la presse de l’époque n’hésite pas crier au scandale.

Un homme, s’est pourtant distingué. Son nom, Maurice Garin. Encore inconnu du grand public, le futur lauréat en 1903 du premier Tour de France franchit en vainqueur la ligne d’arrivée d’une course épique annonciatrice du déclin des courses de grand fond sur piste.

Exténué, Maurice Garin a bien mérité le titre honorifique de « forçat de la piste ».

2012 – 93 pages – Autoédition disponible auprès de l'auteur

Prix : 9,50 €

19/02/2015

RAPAUD Didier

cyclourismeLe temps de la vélocipédie (1876 – 1892)

ou l’inoubliable Jiel Laval

Auteur : Didier Rapaud

 

C’était le temps de la vélocipédie, du grand bi à l’apparition de la « reine bicyclette ». C’était le temps des courses d’Angers et des vélodromes éphémères.

C’était le temps des vélocemen, figure chic d’une société française en pleine mutation. C’était le temps des Terront, De Civry, Médinger, les « as » du temps jadis.

Mais c’était aussi un homme, Joseph Louis Laval dit Jiel Laval, champion héroïque, coureur inoubliable mais effacé de la mémoire collective. Et pourtant ! Véritable apôtre de la vélocipédie, sa carrière, de 1876 à 1892, fut belle et ses performances dans les premiers Bordeaux-Paris (5e et 1er Français) et Paris-Brest-Paris (2e) de réels exploits.

Mais bien plus qu’un parcours sportif, il fut aussi constructeur de bicyclette et d’automobiles ; son itinéraire est un condensé d’une certaine France, celle de la naissance de la vélocipédie, de l’automobile et de l’aviation.

Cet ouvrage propose de redécouvrir la vie d’un vrai gentleman au destin extraordinaire et précurseur d’une longue lignée de champions français.

L’inoubliable Jiel Laval est mon sixième livre. La couverture sur papier vergé est faite à l’ancienne aux caractères de plomb en association avec le Moulin du Got.

Je fais revivre une époque aujourd’hui effacée de la mémoire collective avec pour fil conducteur la carrière de Jiel Laval originaire tout comme moi de Haute-Vienne.

 

2015 – 207 pagesAutoédition disponible auprès de l'auteur

Prix : 14 €

19:26 Écrit par Biblio-cycles dans Autobiographie, Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer

14/10/2014

Seray Jacques

cyclotourisme

DEUX ROUES La véritable histoire du vélo

Auteur : Jacques Seray

 

Le vélo. Une machine simple, enfantine même, si l’on se réfère à l’usage qu’en font les plus jeunes. Une machine de grand air, si l’on regarde son emploi en loisir. Une machine utilitaire, si l’on se tourne vers les pays où la motorisation ne se conjugue encore qu’au futur. Une machine sportive, si l’on sait qu’elle entre dans le jeu athlétique et nourrit l’épopée des géants de la route.
Une machine toutefois méconnue dans son histoire. Autant l’aventure des courses est largement relatée car elle se nourrit de faits palpitants, autant l’histoire de la machine vélo reste à écrire.
En remettant les choses à plat. Et en partant à la recherche de ses vérités. LA VÉRITABLE HISTOIRE DU VÉLO, en somme ? On sait que l’Histoire a déjà fourni « Vraie Croix », ce qui, en corollaire, impliquait la fausseté des autres. Mais pour ce qui concerne le modeste vélo, doit-on comprendre que tout n’est pas bien net ? On a pourtant écrit sur ses balbutiements et son adolescence. Aurait-on abusé des compilations ? Et négligé les vérifications ?
Ce sous-titre, bien sûr, est à prendre comme un clin d’œil, une malice, une manière d’inviter le lecteur à entrer dans le livre, à s’y frotter. Il n’a pas paru honteux à son auteur de mettre l’accent sur ce qui lui semble une approche nouvelle du sujet. Qu’on n’y voit pas essentiellement la marque de l’immodestie mais celle d’une volonté d’aller plus loin. Le chemin, hélas ! Ne sera pas pour autant parcouru en totalité.
Né le 31 mars 1939, Jacques Seray est passionné de vélo depuis son jeune âge. D’abord de compétition. De celle des autres, les « Géants de la Route ». Ensuite de cyclotourisme, le sien, qu’il pratique avec ferveur sur les routes de France et d’Europe. Mais, au-delà de l’acte sportif, il baigne en permanence dans l’écrit et l’imagerie cyclistes. Un jour, il reçut un éclair. Alors qu’il était au cœur de ses lectures favorites, il releva une énorme contrevérité sur l’histoire des origines du vélo. Puis il en trouva d’autres aux étapes ultérieures. Puis d’autres encore. Bref, on s’y perdait allègrement dans le passé de cette machine nommée vélo. Et on ne semblait guère connaître ses inventeurs successifs. Alors il se mit en piste...

 

1988- 211 pages – Édition du Rouergue.


Ce livre, une référence depuis longtemps épuisée, a été réédité en 2013 sous le titre "Deux roues, la merveilleuse histoire d'une machine nommée vélo" ; cette nouvelle édition a été complétée et enrichie par l'auteur et nous la recommandons chaudement.
À découvrir sur ce blog.

 

 

 

03/09/2014

Victor John - Fraisse Théo

cyclotourisme

                                         Les objets du Vélo

 Auteurs : John Victor – Théo Fraisse

Le vélo est sans doute la plus noble conquête de l’homme de l’ère industrielle.

Du grand-bi au tout-terrain, il a pris de multiples formes. Compagnon fidèle, il est toujours partant pour une course vers la boulangerie ou vers la haute marche d’un podium. Mais attention, il n’y a pas un vélo, mais des vélos, pour petits et grands ou grandes, pour sportifs ou travailleurs, pour touristes ou militaires...

Autant de machines qui ont généré d’innombrables objets, des affiches publicitaires aux souvenirs du Tour de France ouvragées, des pompes aux revues spécialisées, des étonnants « arrache-clou » aux colorées plaques de fabricants ! La bicyclette est ainsi détaillée et les différents modèles sont passées en revue dans un grand défilé d’accessoires qui, mis en lumière, dévoilent leur ingéniosité, leur curiosité et très souvent qui n’est pas prête d’être détrônée dans le cœur des passionnés...

2012- format 24 X 29 – 189 pages – Édition : De Borée.

Prix :29,90 €