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10/12/2015

Norcliffe Glen

cyclotourisme Critical Géographies of Cycling – History, Political Économy and Culture

Auteur : Glen Norcliffe

Préface : This book presents a collection of 11 connected thematic essays. They are not intended, however, to tell a sequential tale, indeed they weave chronologically from the past to the présent and back again so that the reader may choose to read them according to individual interest without losing the thread. But they are connected by themes, by their critical stance, and their interrogation of cycle and related cycling activities. For the appearance of this book I have to thank primarily Ron Buliung at the University of Toronto, who in 2013 created a graduate course on “Geographies of Cycling“. He kindly asked me to talk to his class, and then pressed me as to how he could obtain a number of the essays that I had published. The answer was “with difficulty“, in many cases because they were published in the annual Proceedings og the International Cycle History Conference which are not widely available. Perhaps it was obvious, but it took a few weeks for the point to sink in, and then a light bulb came on and I asked Ashgate, who have an interest in both transportation and geography, whether there would be any benefit in bringing these fugitive essays together, along with a few articles I have published in more accessible journals, plus two new essays, an opening chapter to present an overview, and the final chapter to offer a geographical viewpoint on the current battle for the street. It must have been providence that guided my letter to Ashgate into the hands of their editor for Human Geography, Katy Crossan, who responded favourably to the proposal and has since patiently and creatively guide dit through various steps and hurdles.

It was also my good fortune that I was a Visiting Fellow at Fitzwilliam College, Cambridge at this time (Michaelmas Term, 2013) which allowed me to disconnect myself from many other activities and focus exclusively on research and writing. I thank the Master and Fellows of the College for this privilege. In the process, I relearned the pleasures of cycling around Britain’s most cycling friendly city, and have been able to incorporate a few of the lessons learned there into the text. But that is a recent event whereas participants at the annual International Cycling History Conference, which I have attended most years for the past two decades, have informed me about many aspects of cycling on which I was quite ill-informed, and critiqued early drafts of a number of the essays presented here. Like many other participants I have to thank Nick Clayton for launching that Conference 25 years ago.

To my mind one of the hallmarks of geography is the need to get out of our armchairs and observe things for ourselves. And if the object of our inquiry is no longer around, we seek out what people living at that time saw and wrote about it. This is not, however, a plea for rampant empiricism : theory informs the best geographical work, necessarily so since many of the key processe creating the landscape such as flows of capital, power relation, and social dynamics are often concealed . And those theoretical underpinnings need in turn to be confirmed by observing the real world : praxis and theory, and theory and praxis.

I have taken the opportunity to lightly revise the essays, and in one or two cases added cyclotourisme additional comment. Mostly, however, I have shortened them and dropped some of the bookish phrasing that deadens academic prose. But they do all pursue the post-structural position in viewing understandings of the bicycle as contingent upon time and place, which presents a great opportunity for geographers. The result is that widespread processes such as the rise of the E-bike, the Cyclists’ Rights Movement, and the globalization of bicycle making need to be interpreted in different ways in different places.

Naming everyone who helped with the writing of these essays over a 20 year period is not possible, there have deen simply too many, so I hope they will accept this broad thank-you. I am grateful to my co-authors for permitting the reproduction of essays already published. Many friends have ridden with me on long rides in Europe and North America passing on their wisdom in such brilliant places as Lithuania , and again I offer my appreciation for these extended lessons Ron Miller helped me solve mechanical problems beyond my competence and Dave Brown and many others kept me smiling when the weather turned against us. I hope that the wisdom passed on by so many friends has resulted in essays that provide insight as well as enjoyment.

2015- 275 pages, relié, format 15,9 X 23,5 – Editeur : Ashgate Publisshing Limited – Collection : Tranport and Society. http://www.ashgate.com/default.aspx?page=637&title_id...

 

cyclotourisme

De gauche à droit : Stuart Mason-Elliott, Glen Norcliffe, Carey Williams, Gilles Tamagne, Alain Cuvier, Dominique Lefébvre, Keizo Kobayashi.

Départ du Paris -Avigon le 8 août 2015, rue Jean Goujon à paris pour commémorer le 150ème anniversaire du premier voyage à vélo du monde par les frères Olivier et Georges de la Bouglise en 1865.

 

 

03/12/2015

Gurian Roberto

cyclotourisme

                           VÉLO – Les modèles d’hier, d’aujourd’hui et de demain

Auteur : Roberto Gurian

Aucun autre véhicule n’est aussi démocratique que le vélo : il peut être commun ou aristocratique, abordable ou coûteux, selon le modèle et l’utilisation pour laquelle il a été conçu. Cet ouvrage superbement illustré retrace l’histoire de cet indémodable moyen de transport : depuis les premiers vélocipèdes du 19ème siècle aux articles en titane, en passant par les vélos des premières dames, sans compter l’évolution des matériaux et des cyclotourisme technologies. Le livre rend aussi hommage aux principaux vélos de course qui ont marqué l’histoire du cyclisme, apportant le succès à d’éminents champions. Enfin, un chapitre entier est dédié aux articles tout-terrain, qui se sont taillé une place de choix sur le marché des vélos, engendrant la création de divers sports de compétition.

Voici donc un magnifique ouvrage de référence pour les passionnés de la pédale... et les curieux !

2015- 272 pages –format : 31,5 X 27,5 cm – Éditeur : Sélection Reader’s Digest - www.groupemodus.com/livre/livre/v%C3%A9lo.html...

Prix : 29,95 €

 

20/11/2015

Guivarch François

cyclotourisme LES JOHNNIES de ROSCOFF

Auteur : François Guivarch

L’oignon rosé – qui est la spécificité de la région de Roscoff a été apporté du Portugal au 17ème siècle, par un moine capucin qui apprit à ses voisins du couvent de Roscoff à cultiver cet oignon doux, parfumé, fondant à la cuisson. En 1828, un cultivateur de Roscoff, Henni Ollivier, eut l’idée de charger une gabarre de ces oignons pour aller les vendre en Angleterre. Ce fut le début d’un commerce qui s’est poursuivi jusqu’à nos jours ? Comment se faisait ce commerce ? Qui étaient ces marchant d’oignons qu’on appelait “JOHNNIES“ ? Le commerce de l’oignon rose de Roscoff en Grande-Bretagne.

L’organisation de la vente, les oignon étaient tressés en “bottes“ de 3 à 4 kilos enfilées sur un bâton porté à l’épaule. Les tresses étaient faites par des « botteleurs » dans un « magasin » servant à la fois d’entrepôt pour les oignons et de logement pour les botteleurs et vendeurs. L’ensemble decyclotourisme ces hommes constituait une « compagnie » dirigée par un « master » : le chef. Ces compagnies pouvaient avant la guerre de 1914 comporter jusqu’à 60 hommes. Après 1920, les compagnies se réduisirent à moins de 10 hommes et jeunes gens commençant à 12, puis 14 ans La bicyclette qui se développa dans les années 30 libéra les épaules des Johnnies et popularisa leur images : béret, sourire et oignon ruisselant cri chapelets sur les guidons – qui portaient jusqu’à 150 kilos d’oignons. Des camions ou « lorries » facilitèrent plus tard cette vente « à la chine » directement auprès des ménagères britanniques qui acceptaient de payer plus cher cet oignon breton eu égard à sa qualité gustative et à sa bonne conservation.

cyclotourisme Le métier de Johnny toujours cependant difficile et qui conduisait chaque année à une séparation des familles de 6 mois – de juillet à janvier – se justifiait dans les premiers temps par une nécessité de survies. Entre 1920 et 1930, on a pu cependant parier d’un « âge d’or ».

Déjà au début de 20ème siècle les hommes du pays de Roscoff, Saint Pol de Léon, avaient couvert toute la Grande-Bretagne : Pays de galles, Angleterre,
Ecosse en vendant leurs oignon de porte en porte. Les Anglais émus par le jeune âge de beaucoup d’entre eux – 9/10 ans – les appelèrent “JOHNNY“ :  «  petit jean » et les marchands d’oignons se sont appropriés le nom en s’appelant eux-mêmes : « AR JOHNNIGED » - les JOHNNIES.

1979- 195 pages – Éditions : Nature et Bretagne

cyclotourisme

Livre lu et apprécié par le comité de lecture du blog  

14/11/2015

Astié Charles


cyclotourisme Musée Virtuel du Vélocipède “1817-2000“

Auteur : Charles Astier

Ce musée virtuel séduira par l’esthétisme de ses nombreuses illustrations commentées, aussi bien le lecteur ; simple visiteur, que le réalisateur de maquettes qui sera aidé par des ensembles trois vues. L’auteur ; homme de bureau d’études, artiste confirmé, ayant parcouru des milliers de kilomètres... à vélo, retrace ici l’évolution technique du vélocipède, le moyen de transport mû par la force humaine, le plus utilisé datas le monde entier. Ce livre est un vrai musée que vous pourrez visiter en parcourant le temps de 1817 et nos jours. Une soixantaine de machines sont représentées alliant rigueur technique et beauté des illustrations ; chacune est accompagné d’explications techniques et historiques succinctes, depuis la première machine à courir du Baron Karl Drais en passant par les machines à leviers, celles à pédales de Michaux, suivies des grands bi, tricycles, dicycles, monocycles, quadricycles et jusqu’à la bicyclette. La fin de la visite est consacrée aux carénages futuristes sculptés par les designers italiens.

Biographie : Charles Astié, est un passionné du sport cycliste. Dès sa jeunesse il pratique le cyclotourisme. A l’issue de ses études, il entre à l’actuelle EADS où il fait carrière dans les Bureaux d’Etudes, se consacrant aux Djin, Caravelle, Concorde, Airbus et ATR . Une fois retraité, il s’inscrit à l’école des Beaux Arts de Toulouse qu’il fréquente pendant cinq années. Il participe a de nombreuses expositions et récolte de nombreux prix. Par la suite il a l’idée d’étudier de manière plus approfondie l’histoire de la bicyclette sur le plan technique. La selle est alors remplacée par un fauteuil plus confortable, et le guidon par une souris déplaçant un point lumineux sur un écran d’ordinateur. Ainsi fut conçu et naquit ce livre.

2003- 175 pages – Éditions Cépaduès - http://www.cepadues.com/auteur/Astie-Charles/143.html...

Prix : 15 € 

08/11/2015

Guroff Margaret

cyclotourisme The Mechanical Horse : How the Bicycle Reshaped American Life (Discovering America)

Auteur : Margaret Guroff

With cities across the country adding miles of bike lanes and building bikeshare stations, bicycling is enjoying a new of popularity in America. It seems that every generation or two, Americans rediscover the freedom of movement, convenience. And relative affordability of the bicycle. The earliest two-wheeler, the draisine, arrived in Philadelphia in 1819 and astonished onlookers with the possibility of propelling themselves ‘like lightning.’ Two centuries later, the bicycle is still the fastest way to cover ground on gridlocked city streets. Filled with lively stories, The Mechanical Horse reveals how the bicycle transformed American life. As bicycling caught on in the nineteenth century, many of the counytry’s rough, rutted roads were paved for the first time, laying a foundation for the interstate highway system. Cyclists were among the first to see the possibilities of self-directed, long-distance travel, and some of them (including a fellow named Henry Ford) went on to develop the automobile. Women shed their cumbersome Victorian dresses as well as their restricted gender roles, so they could ride. And which helped to modernize medicine. Margaret Guroff demonstrates that the bicycle’s story is really the story of a more mobile America, one in which physical mobilility has opened wider horizons of thought and new opportunities for people in all avenues of life.

2016- 216 pages – Publisher University of Texas Press – http://www.amazon.com/The-Mechanical-Horse-Reshaped-Disco...

Prix : 19,56 $

07/11/2015

McCullough Robert L.

 

cyclotourisme Old Wheelways

TRACES OF BICYCLE HISTORY ON THE LAND

Auteur : Robert L. McCullough

In the later part of the nineteenth century, American bicycliste were explorers, cycling through both charted and uncharted territory. These wheelmen and wheelwomen became keen observers of suburban and rural landscapes, and left copious records of their journeys – in travel narratives, journalism, maps, photographs, illustrations. They were also instrumental in the construction of roads and paths (wheelways) – building them, funding them, and lobbying legislators for them. Their explorations shaped the landscape and the way we look at it, yet with few exceptions their writings have been largely overlooked by landscape scholars, and many of the paths cyclists cleared have disappeared. In Old Wheelways, Robert McCullough restores the pioneering cyclists of the nineteenth century to the history of American landscapes. McCullough recounts marathon cycling trips around the Northeast undertaken by hardy cyclists, who then describe their journeys in such magazine as The Wheelman Illustrated and Bicycling World, the work of illustrators (including Childe Hassam, before his fame as a painter), efforts by cyclists to build better rural roads and bicycle paths, and conflicts with park planners, including the famous Olmsted firm, who often opposed separate paths for bicycles. Today’s ubiquitous bicycle lanes owe their origins to nineteenth century version, including New York City’s ‘asphalt ribbons.’ Long before there were ‘rails to trails,’there was a movement to adapt existing passageways – including aqueduct corridors, trolley rights-of-way, and canal towpaths – for bicycling. The campaigns for wheelways, McCullough piont out, offer a prologue to nearly every obstacle faced by those advocating bicycle paths and lanes today. McCullough’s text is enrichep by more than one hundred historic images of cyclists (often attired in skirts and bonnets, suits and ties), country lanes, and city streets.

2015- 384 pages – Éditions Mit Pr - http://www.amazon.com/Old-Wheelways-Traces-Bicycle-Histor...

Prix : 25,86 $

20/10/2015

Dufresne Didier

cyclotourisme La guerre sur le porte-bagages 1940

Auteur : Didier Dufresne

Septembre 1939, l’Allemagne déclare la guerre à la France. Marguerite Comparot vit à Troyes avec ses parents et son frère Maurice. Elle devient témoin de cette guerre sans combats que les journaux appellent la « Drôle de guerre ».

Mai 1940, l’armée allemande bombarde les environs de Troyes. C’est le début de la « Campagne de France » qui marque la fin de la « Drôle de guerre ». L’Allemagne est victorieuse et Marguerite voit sa ville traversée par les populations fuyant l’avance ennemie.

Juin 1940, l’armée allemande s’approche de Troyes. Pour Marguerite, comme pour des millions de Français, vient alors le moment de l’Exode. Marguerite et sa famille enfourchent leurs vélos et quittent tout pour traverser une partie de la France. Ce voyage de plus de 400 kilomètres en vélo sur des routes encombrées de millions de réfugiés va les conduire de Troyes à Aubusson, dans la Creuse où une généreuse famille les accueillera dans leur ferme. Marguerite fera la connaissance d’Andrée, une fille de son âge. Ce sera le début d’une très longue et belle amitié.

2015- 104 pages – Éditions Oskar – collection : Histoire & Société.

Prix : 9,45 €

 

12:08 Écrit par Biblio-cycles dans France, Histoire, Société | Lien permanent | Commentaires (2) |  Imprimer

10/10/2015

Ladève Roland

cyclotourisme Le cyclisme dans les Côtes-d’Armor
à la fin du siècle dernier

Auteur : Roland Ladève
Préface : Bernard Hinault

 

Grâce à Roland Ladève, historien du cyclisme, partez à la découverte d’un pionnier de la petite reine, Ludovic Morin, en réalité à l’état civil Louis Jules Paul Morin, né à Saint-Brieuc le 25 août 1877, a été en son temps une idole et sa notoriété était sans doute supérieure à celle des champions d’aujourd’hui.
Morin a remporté le Grand Prix de Paris en 1895, 1896, cette année-là en présence du président de la République de l’époque Félix Faure, et en 1897 ; et détail peu connu, il est sans doute le premier coureur cycliste à qui un livre a été consacré. Les conseils donnés aux cyclistes de la fin du siècle dernier vous feront sans doute sourire...

 

1990 – 192 pagesAutoédition 

09:06 Écrit par Biblio-cycles dans Bretagne, Histoire | Lien permanent | Commentaires (1) |  Imprimer

30/06/2015

MAINE Découvertes n°13 - juin - août - 1997

cyclotourisme

DOSSIER : Du grand “bi“ au V.T.T. : L’aventure vélocipédique dans le Maine.

1997 – 80 pages – MAINE Découvertes – n°13 – juin – août 1997.

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Courteline Georges

Courteline-couverture.jpgAh ! Jeunesse et autres contes
La première leçon – Le phénomène – 2 textes parfois regroupés en « Quand je pédalais »

Auteur : Georges Courteline
Illustrations de Wanner

 

Pas simple de retrouver la trace de ces écrits dans lesquels l’auteur de « Messieurs les ronds-de-cuir » nous relate d'une part sa première leçon de vélocipédiste débutant, d'autre part, dans un registre plus imaginatif, la supercherie d'un pseudo novice à bicyclette qui, en payant une soi disant première leçon, feint des dispositions particulières en la matière […] afin de se payer la satisfaction d'étonner la galerie et de se concilier des admirations...
Dans ces 2 courts textes publiés d'abord dans des revues datant de la fin des années 1890 (La première leçon, 1896 dans La Revue illustrée), puis repris dans différentes « anthologies » de Courteline, celui-ci recrée l'ambiance des « manèges » de l'époque et des pédalées au Bois de Boulogne, il nous rappelle le rôle de Tristan Bernard, maître en l'art d’écrire le français et agrégé de vélocipède, lequel Tristan, en tant que propriétaire du célèbre vélodrome Buffalo, initia également aux joies de la bicyclette Alphonse Allais, Jules Renard ou encore Alfred Capus.
Un plus dans l'édition présentée ici, de belles illustrations dont un magnifique hors-texte et en couleurs d'un tandem. Courteline-tandem.jpg
Notons enfin que, dans certaines éditions de « La première leçon », Tristan Bernard est présenté comme l'auteur des Pieds Nickelés (texte publié en 1894) alors que dans d'autres plus récentes, il est celui de Un mari pacifique (roman de 1901).

Merci à Noëlle Benhamou d'avoir été la complice de ma curiosité vis à vis de cet auteur et de ses liens avec la bicyclette.

                                       Jean-Yves MOUNIER

 

Sans date – 234 pages – Éditions littéraires de France

À lire en ligne sur Gallica.

03/06/2015

100 years of bicycle posters

cyclotourisme

                        100 YEARS OF BICYCLE POSTERS

 Auteur : Jack Rennert

Texte en anglais, 112 pages, reproductions en couleurs et en noir et blanc , en pleine page.

1973- 112 pages -format In-4 (40,5x28 cm) Éditions Harper & Row, Publishers, New York, Evanston, San Francisco, London.

31/05/2015

Alberny Renaud

cyclotourisme Des grands hommes à vélo.

Auteur : Renaud Alberny

La bicyclette aurait-elle quelque chose à voir avec le génie ?

Saviez-vous que Mark Twain, Arthur Conan Doyle, Emile Zola, Léon Tolstoï, Tristan Bernard, Colette, Henry de Monfreid, Pierre et Marie Curie, Alfred Jarry, Maurice de Vlaminck, Jack London, Aristide Bruant, Lénine, Nicolas II, Alain-Fournier, André Derain, Pu-Yi, Albert Einstein, Lawrence d'Arabie, et Maurice Leblanc avaient en commun, outre leur célébrité, d'être amoureux du vélocipède ?

Au tournant de ce siècle, alors que la bicyclette est en passe de devenir le moyen de locomotion le plus populaire de la planète, les figures du monde des arts et des lettres, des sciences, ou de la politique, pédalent. Adeptes de la petite reine ou maîtres du grand-bi, cyclistes frénétiques ou dilettantes, tous ont sillonné les chemins, écumé les rues, juchés sur une selle montée sur deux roues... A chacun ses motivations : escapade amoureuse, virée dominicale, hygiène sportive, locomotion à moindre frais, amusement...

Documents photographiques à l'appui, Renaud Alberny brosse les portraits vivants et originaux d'une vingtaine de personnages de la Belle Epoque, qui, dans leur pratique du vélo, nous apparaissent sous un jour étonnamment proche.

 

1998 – 139 pages – Photos noir et blanc - Éditions Glénat

27/05/2015

Reynaud Claude

cyclotourisme

L’ère de la draisienne en France. 1818 - 1870

 Auteur : Claude Reynaud

Après près de deux cents ans d'existence, le vélo, objet historique, éclaire de manière originale les métamorphoses de la société. On peut le voir comme un révélateur de la culture populaire. S'il est aujourd'hui le moyen de transport le plus répandu sur la planète, il a une histoire, son histoire, qui s’inscrit dans celle de la locomotion terrestre.

Il est établi aujourd'hui qu'elle s'articule en quatre étapes bien distinctes : les draisiennes, les vélocipèdes à pédales puis les grands bis et enfin les bicyclettes. L'histoire des draisiennes, objet de ce livre, était jusqu'alors concentrée sur l'Allemagne avec celles du baron Drais […] et sur l'Angleterre au travers des hobby-horses de Denis Johnson. La place de notre pays durant cette période 1817-1819 était réduite […] à quelques démonstrations de machines de Drais à Paris en 1818 et à l’utilisation d'une draisienne française par Niepce la même année. […]

Cette bipolarisation Allemagne – Angleterre laissait une toute petite place à la France en cette courte période […]. Jusqu'ici l'on s'est peu soucié de ces machines françaises qualifiées d’artisanales et de vagues copies de celles du baron Drais […]

Un des buts de cet ouvrage sera donc de les étudier en détail mais aussi dans leur ensemble, leur recensement aujourd'hui le permettant. Autre objectif, celui de les replacer dans leur contexte. […]

                                                                  Extraits de l'introduction

2015 – 298 pages – Éditions Musée Vélo-Moto de Domazan

Pour vous procurer ce livre, contacter chateaudebosc@wanadoo.fr

www.chateau-de-bosc.com

Prix : 66,50 €, port compris. Tirage limité à 200 exemplaires.

 

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25/05/2015

Cadiou Georges

cyclotourisme Les pionniers du cyclisme breton
De 1869 à 1939

Auteur : Georges Cadiou

 

En fin spécialiste, Georges Cadiou raconte l’épopée des pionniers, de la démocratisation du cyclisme aux premières courses vélocipédiques. Une évolution sur des décennies fondatrices, jalonnées par l’émergence de grandes figures : Charles Terront, Pierre Cloarec, Ferdinand Le Drogo, ou encore Lucien Petit-Breton...
Retour sur les premiers forçats de la route qui ont enflammé les foules dès la fin du XIXe siècle, sur des itinéraires non bitumés, hébergés dans des granges entre deux étapes épiques.
On revit la naissance des plus grandes courses, du Paris-Brest au Tour de France, en passant par les critériums ou la piste reine. Records et palmarès, sponsoring, médiatisations, innovations techniques... et jusqu’aux premiers cas de dopage !
Une chronique de la riche histoire du cyclisme, ponctué d’anecdotes et illustrée de documents inédits.

 

2015 - 192 pages - Locus Solus

Prix : 22 €

14:05 Écrit par Biblio-cycles dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer

18/04/2015

Schwinn Bicycle Company

cyclourismeNO HANDS – The Rise and Fall of the Schwinn Bicycle Company, an American Institution

Auteurs : Judith Crown – Glenn Coleman

Langue : Anglais

Retour sur l'une des plus emblématiques marques américaines de vélo...

Pour des générations d'américains, il n'y avait pas de meilleur vélo qu'un Schwinn.

La compagnie, fondée en 1895 par Adolph Arnold et Ignaz Schwinn à Chicago (à l'époque nommée « The Arnold, Schwinn & Company of Chicago »), de par sa qualité de conception et son innovation, a eu une influence conséquente sur le marché du cycle nord-américain une bonne partie du XXe siècle.

Ignaz Schwinn, dont le nom de famille est devenu un acronyme de vélo là-bas, arriva aux États-Unis avec pour simple richesse son savoir-faire en terme de manufacture industrielle, acquis en tant qu'ouvrier immigrant apprenti machiniste dans les usines allemandes.

Entre 1900 et 1930, Schwinn a produit approximativement 45 000 vélos chaque année, dans un marché très fluctuant et dont la Grande Dépression a vu de nombreuses usines du secteur fermer leurs portes pour de bon.

L'influence de Frank W. Schwinn va définitivement façonner la manière dont on conçoit un vélo aux États-Unis. Il pousse les fabricants de composants à concevoir des pièces plus solides et plus durables, il introduit les gardes-boues ou encore les fameux pneus ballons.

En 1941, ce sont plus de 340 000 vélos qui sortent des lignes de production Schwinn, et en 1950, un vélo sur quatre fabriqué aux USA est un Schwinn ! Le modèle haut-de-gamme Black Phantom va vite devenir un must-have chez les minots de cette période, avec ses détails chromés et sa garantie à vie.

L'influence de Schwinn a également beaucoup changé la manière de vendre les vélos. En 1948, terminé les vélos vendus dans les grandes chaînes de magasin, Schwinn veut se servir de sa réputation pour vendre autrement. S'en suit alors une politique marketing et commerciale très agressive. La compagnie pousse les détaillants à faire allégeance à leur marque et à vendre exclusivement des modèles Schwinn à leur clientèle. Elle se concentre aussi sur le levier publicitaire, en utilisant les étoiles montantes du moment pour faire la promotion de leurs modèles

1963 voit l'introduction de l'iconique modèle Stingray, une réponse directe au non moins célèbre  Raleigh Chopper qui cartonne chez les jeunes, avec son guidon en hauteur et son siège banane.

 Mais ce succès se révélera malheureusement éphémère. Alors que Schwinn s'imposait comme la marque qui comptait dans les années 70, une usine vieillissante et une direction réticente à embrasser les tendances alors naissantes du BMX et du VTT, auront eu raison de cette réussite.

En 1993, la société est revendue et quittera le marché du vélo haut-de-gamme pour celui de la grande distribution. Pour autant, la marque semble depuis quelques années renaître petit à petit de ses cendres sur le sol US.

Extraits de l'article paru sur le site : Weelz.frhttp://www.weelz.fr/fr/velo-urbain/2015/04/14/histoire-sc...et avec son accord.

Des catalogues de cette marque sont également consultables ici : http://schwinncruisers.com/catalogs/

1996- 350 pages –Éditeur : Henry Holt & Co –

 

27/03/2015

De Smaele Gérard

cyclourismeLe cyclisme dans les livres et les revues
Entre deux expositions universelles (Paris, 1867 – Bruxelles, 1958)... et après

Auteur : Gérard De Smaele
Préface : Keizo Kobayashi et Isabelle Lesens
Postface : Jean Durry

 

Jean Durry (1973) et Keizo Kobayashi (1984), dans la ligne desquels s’inscrit résolument l’auteur, avaient ouvert la voie. Quelque quarante et trente années plus tard, Gérard De Smaele va plus loin. Son exploration cycliste à travers « les livres et les revues » creuse le sujet et l’enrichit.
Car, non seulement il actualise et internationalise une bibliographie déjà abondante, usant avec bonheur des multiples sites offerts désormais par l’outil informatique venu prolonger et compléter la voluptueuse manipulation en première main des originaux des ouvrages – ce qui donne à tous l’accès aux rayons de multiples bibliothèques et collections privées, dont la sienne propre -, mais encore, il la développe et la nourrit chronologiquement, par l’analyse commentée de soixante-trois titres essentiel sur l’histoire du cycle et du cyclisme.
Au-delà d’un remarquable instrument, délibérément « sélectif », pour les chercheurs et les passionnés, ces notices, approfondies et foisonnant de précision inédites, témoignent avec originalité de l’amour d’un cycliste fervent, « quotidien et sincère », pour cette petite merveille qui n’a pas fini de rouler : la bicyclette.

Gérard De Smaele est cycliste dans l’âme car il préfère les sentiers aux autoroutes. C’est le fil rouge d’un parcours de poète opiniâtre et libre. Professeur d’éducation physique, jongleur à ses moments perdus, il se fit musicien par la grâce d’une passion pour le banjo, instrument qu’il connaît par cœur. Poursuivant un itinéraire nomade, il se lança dans la restauration d’œuvres d’art, sans jamais s’éloigner de son banjo ni de son vélo. Atypique ? Pas plus que Maurice de Vlaminck, violoniste qui se mua en cycliste professionnel, avant de devenir peintre. Ainsi va le refrain d’une vie, il faut se perdre souvent pour se trouver.

         Marcel LEROY
Ancien journaliste au journal Le Soir

 

2015 – 292 pages – Éditions l’Harmattan 

Prix : 31 €

Lu et apprécié par le comité de lecture du blog

24/03/2015

Robin Francis

cyclourisme

Première randonnée mondiale à Vélocipède :

           Le Paris-Avignon des Frères OLIVIER et Georges de La Bouglise

                                                    1865                                                                                      

Auteur : Francis ROBIN

Ce dossier de La Vélocithèque N°54 est certainement une gageure : il se propose de reconstituer par l’écriture le premier voyage vélocipédique de l’histoire, voyage qui, au mois d’aout 1865, mena ses auteurs de Paris à Avignon en passant par Lyon et Tullins (Isère). Soit une distance de près de 750 kilomètres parcourus par les deux premiers vélocipédiste du monde : les frères Aimé et René Olivier, associé au départ avec un de leurs compagnons d’études et d’aventure,

Georges de La Bouglise.

Or le récit de ce voyage n’a jamais existé ! Ce qui permet de dire qu’il appartient à la protohistoire plutôt qu’à l’histoire, - sinon à la légende – vélocipédique !

Voilà pourquoi nous parlerons allégoriquement de « palingénésie ». D’autres se sont – vaillamment ! – chargé de redonner vie à l’événement pédales aux pieds, le ressuscitant donc (c’est le sens premier du mot palingénésie) en le renouvelant. Francis Robin, lui, a choisi l’écriture pour l’exhumer du passé et le ramener au jour.

Car l’insolite est que, à notre connaissance, ce voyage d’un genre totalement nouveau, et qui traversait la France du Nord au Sud, passa complètement inaperçu en son temps, aucun des correspondants de la presse locale de l’époque ne daignant lui consacrer la moindre ligne !

A une (essentielle !) exception près, tous les témoignages dont nous disposons sont donc ultérieurs, la plupart de provenance familiale, émanant des auteurs même de cette expédition, ou de leurs proches. Et ils ont souvent un caractère revendicatif qui ne va pas sans susciter, voire nécessiter, une certaine circonspection de la part des observateurs.

Heureusement, deux ou trois ans après le voyage, à l’occasion de la première vague vélocipédique survenue en France (et donc dans le monde), quelques articles de journaux y font allusion. Mais la reconstitution, 150 ans plus tard, de cette moderne « odyssée » n’en reste pas moins elle-même une aventure dans laquelle Francis Robin n’a pas craint de se lancer ! Pour notre plus grand intérêt à tous bien sûr, mais aussi dans celui de la grande histoire du vélo...

Francis Robin ne prétend pas être un nouvel Homère, mais c’est un chercheur scrupuleux, et pour bien garder le cap dans cette équipée, il lui fallait évidemment s’appuyer sur un bon équipement, à savoir les rares archive contemporaine ou de première main, et un bon équipage, celui de La Vélocithèque par exemple ! au sein duquel on doit citer les précieux Keizo Kobayashi, David Herlihy et Bernard Gougaud.

Mais il eut aussi le privilège de rencontrer le soutien de Bruno Olivier  de Sanderval, descendant direct de la dynastie des grands pionniers lyonnais, et décédé depuis, en avril 2013. Un grand merci à eux tous.

Carle résultat est ce dossier, unique en son genre, à la fois document et monument, en hommage aux véritables inventeurs de la Vélocipédie, c’est-à-dire, finalement, aux responsables de l’adoption définitive du vélo par le monde entier, comme solution pratique à tous les usages (transport utilitaire, promenade, voyages, tourisme, loisir, sport...).

A ce titre, nous ne doutons pas que ce fascicule figurera lui aussi (comme le “traité de cyclonymie“ de Francis Robin, dossier N°42 des cahier de Vélocithèque) dans le thésaurus national, voire international, de la bibliographie vélocipédique !

Ce qui justifie largement que nous lui renouvelions ici, au nom de l’association, à la fois notre gratitude et nos félicitations.

Bonne odyssée à tous !                       Gérard Salmon

 

Pour vous procurer ce dossier écrivez : La Vélocithèque – Le Bois – 69590 Pomeys. Courriel : gerard.salmon@worldonline.fr

Prix : 15 € + 3 € de port= 18€

 

Pour commémorer le premier voyage en vélocipède de l’histoire du deux roues dans  le monde du 8 au 23 Août 2015

Alain Cuvier et Keizo kobayashi  vont refaire le même voyage 150 après.

 www.youtube.com/watch?v#1C71A3F

http://velocipedistes.com/liens/

 

22/02/2015

RAPAUD Didier

cyclourismeLes bons mots vélocipédiques

Auteur : Didier Rapaud

Illustrations : Pascal Delage

Ce livre comporte 27 expressions cyclistes (manger la luzerne, avoir le compteur bloqué, faire l’avion, recharger la chaudière, flinguer, chasser la canette, tricoter, fumer la pipe, etc...) avec leur définition et toutes illustrées de caricatures de Pascal Delage, à l’exception de : “faire connaissance de l’homme au marteau “  illustrée par Pellos (j’ai pu obtenir un crédit photographique gratuit). Et mea culpa j’ai commis une erreur historique avec l’histoire des forçats de la route que j ‘ai rectifié avec la parution du livre sur Maurice Garin. Ceci étant, beaucoup de journalistes continuent à la faire.

Pour certaines expressions, j’y ai ajouté des exemples tirés de la légende des cycles.

1995- 79 pages – Autoédition disponible auprès de l'auteur.

Prix : 9,90 €

RAPAUD Didier

cyclourismeL’incroyable épopée de Marseille-Paris 1902

ou l'avant premier Tour de France

Auteur : Didier Rapaud

 

938 kilomètres séparent Marseille de Paris, à courir d’une traite, malgré les tempêtes de neige qui menacent. Mais dès le départ, c’est le drame. Dans la nuit noire, le Belge Charles Kerff est tombé. Un filet de sang s’échappe de son visage. Il meurt à son arrivé à l’hôpital d’Aix-en-Provence. Son frère, également en course, n’apprendra le drame qu’à Paris.

Le premier livre sur la fabuleuse course qui décida Henri Desgrange à lancer le Tour de France.

Car c’est en 1902 que Lucien Lesna, champion héroïque, triomphe dans la seule édition de Marseille-Paris. Derrière, les dégâts sont considérables. Le deuxième, Muller, a sept heures de retard ! Le peloton n’existe lus, laminé par la tempête. Et Charles Kerff est mort, victime d’une terrible chute. « Jamais je n’ai autant souffert », confiera Lesna.

cyclourisme

 

Cependant, la foule l’acclame. C’est un délire. L’Auto-Vélo, le journal organisateur, vend plus de deux millions d’exemplaires en six jours. Comblé, Desgrange peut désormais relever son nouveau défi : la création du Tour de France.

 

2003 – 138 pages – Éditions Cristel.

Prix : 13€ 

RAPAUD Didier

cyclourismeMaurice Garin cet étonnant forçat de la piste

ou la folle épreuve des 24 heures des Arts Libéraux des 2 et 3 février 1895

Auteur : Didier Rapaud

 

Longtemps décrié, le sport vélocipédique est devenu le sport roi de la fin du XIXe siècle. Les courses de grand fond sur piste connaissent leur âge d’or.

Annoncée à grand renfort de publicité, la course des 24 heures des Arts Libéraux des 2 et 3 février 1895 va faire date. Dans le nouveau vélodrome d’hiver où l’on peine à atteindre les 5°, les défaillances sont impressionnantes. Un coureur ? Buffel, en perd même provisoirement la vue. La résistance humaine a atteint ses limites et la presse de l’époque n’hésite pas crier au scandale.

Un homme, s’est pourtant distingué. Son nom, Maurice Garin. Encore inconnu du grand public, le futur lauréat en 1903 du premier Tour de France franchit en vainqueur la ligne d’arrivée d’une course épique annonciatrice du déclin des courses de grand fond sur piste.

Exténué, Maurice Garin a bien mérité le titre honorifique de « forçat de la piste ».

2012 – 93 pages – Autoédition disponible auprès de l'auteur

Prix : 9,50 €

19/02/2015

RAPAUD Didier

cyclourismeLe temps de la vélocipédie (1876 – 1892)

ou l’inoubliable Jiel Laval

Auteur : Didier Rapaud

 

C’était le temps de la vélocipédie, du grand bi à l’apparition de la « reine bicyclette ». C’était le temps des courses d’Angers et des vélodromes éphémères.

C’était le temps des vélocemen, figure chic d’une société française en pleine mutation. C’était le temps des Terront, De Civry, Médinger, les « as » du temps jadis.

Mais c’était aussi un homme, Joseph Louis Laval dit Jiel Laval, champion héroïque, coureur inoubliable mais effacé de la mémoire collective. Et pourtant ! Véritable apôtre de la vélocipédie, sa carrière, de 1876 à 1892, fut belle et ses performances dans les premiers Bordeaux-Paris (5e et 1er Français) et Paris-Brest-Paris (2e) de réels exploits.

Mais bien plus qu’un parcours sportif, il fut aussi constructeur de bicyclette et d’automobiles ; son itinéraire est un condensé d’une certaine France, celle de la naissance de la vélocipédie, de l’automobile et de l’aviation.

Cet ouvrage propose de redécouvrir la vie d’un vrai gentleman au destin extraordinaire et précurseur d’une longue lignée de champions français.

L’inoubliable Jiel Laval est mon sixième livre. La couverture sur papier vergé est faite à l’ancienne aux caractères de plomb en association avec le Moulin du Got.

Je fais revivre une époque aujourd’hui effacée de la mémoire collective avec pour fil conducteur la carrière de Jiel Laval originaire tout comme moi de Haute-Vienne.

 

2015 – 207 pagesAutoédition disponible auprès de l'auteur

Prix : 14 €

19:26 Écrit par Biblio-cycles dans Autobiographie, Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer

14/10/2014

Seray Jacques

cyclotourisme

DEUX ROUES La véritable histoire du vélo

Auteur : Jacques Seray

 

Le vélo. Une machine simple, enfantine même, si l’on se réfère à l’usage qu’en font les plus jeunes. Une machine de grand air, si l’on regarde son emploi en loisir. Une machine utilitaire, si l’on se tourne vers les pays où la motorisation ne se conjugue encore qu’au futur. Une machine sportive, si l’on sait qu’elle entre dans le jeu athlétique et nourrit l’épopée des géants de la route.
Une machine toutefois méconnue dans son histoire. Autant l’aventure des courses est largement relatée car elle se nourrit de faits palpitants, autant l’histoire de la machine vélo reste à écrire.
En remettant les choses à plat. Et en partant à la recherche de ses vérités. LA VÉRITABLE HISTOIRE DU VÉLO, en somme ? On sait que l’Histoire a déjà fourni « Vraie Croix », ce qui, en corollaire, impliquait la fausseté des autres. Mais pour ce qui concerne le modeste vélo, doit-on comprendre que tout n’est pas bien net ? On a pourtant écrit sur ses balbutiements et son adolescence. Aurait-on abusé des compilations ? Et négligé les vérifications ?
Ce sous-titre, bien sûr, est à prendre comme un clin d’œil, une malice, une manière d’inviter le lecteur à entrer dans le livre, à s’y frotter. Il n’a pas paru honteux à son auteur de mettre l’accent sur ce qui lui semble une approche nouvelle du sujet. Qu’on n’y voit pas essentiellement la marque de l’immodestie mais celle d’une volonté d’aller plus loin. Le chemin, hélas ! Ne sera pas pour autant parcouru en totalité.
Né le 31 mars 1939, Jacques Seray est passionné de vélo depuis son jeune âge. D’abord de compétition. De celle des autres, les « Géants de la Route ». Ensuite de cyclotourisme, le sien, qu’il pratique avec ferveur sur les routes de France et d’Europe. Mais, au-delà de l’acte sportif, il baigne en permanence dans l’écrit et l’imagerie cyclistes. Un jour, il reçut un éclair. Alors qu’il était au cœur de ses lectures favorites, il releva une énorme contrevérité sur l’histoire des origines du vélo. Puis il en trouva d’autres aux étapes ultérieures. Puis d’autres encore. Bref, on s’y perdait allègrement dans le passé de cette machine nommée vélo. Et on ne semblait guère connaître ses inventeurs successifs. Alors il se mit en piste...

 

1988- 211 pages – Édition du Rouergue.


Ce livre, une référence depuis longtemps épuisée, a été réédité en 2013 sous le titre "Deux roues, la merveilleuse histoire d'une machine nommée vélo" ; cette nouvelle édition a été complétée et enrichie par l'auteur et nous la recommandons chaudement.
À découvrir sur ce blog.

 

 

 

03/09/2014

Victor John - Fraisse Théo

cyclotourisme

                                         Les objets du Vélo

 Auteurs : John Victor – Théo Fraisse

Le vélo est sans doute la plus noble conquête de l’homme de l’ère industrielle.

Du grand-bi au tout-terrain, il a pris de multiples formes. Compagnon fidèle, il est toujours partant pour une course vers la boulangerie ou vers la haute marche d’un podium. Mais attention, il n’y a pas un vélo, mais des vélos, pour petits et grands ou grandes, pour sportifs ou travailleurs, pour touristes ou militaires...

Autant de machines qui ont généré d’innombrables objets, des affiches publicitaires aux souvenirs du Tour de France ouvragées, des pompes aux revues spécialisées, des étonnants « arrache-clou » aux colorées plaques de fabricants ! La bicyclette est ainsi détaillée et les différents modèles sont passées en revue dans un grand défilé d’accessoires qui, mis en lumière, dévoilent leur ingéniosité, leur curiosité et très souvent qui n’est pas prête d’être détrônée dans le cœur des passionnés...

2012- format 24 X 29 – 189 pages – Édition : De Borée.

Prix :29,90 €

25/08/2014

Kobayashi Keizo

cyclotourismeHistoire du Vélocipède de Drais à Michaux 1817 – 1870 Mythes et réalités

Auteur : Keizo Kobayashi

Cette étude est née d’une joie, la joie de vivre, que m’a procuré un tour du Japon à vélo réalisé en 1969. J’avais alors vingt ans. Je distribuais les journaux à vélo dans mon village natal ; j’allais également à vélo au lycée à 10 Km de chez moi. Puis j’allai à l’université à 30 Km, toujours en me servant de mon vélo. Mais la sensation que j’eus pendant ce tour du Japon me fut totalement nouvelle. Elle m’amena à réfléchir sur ce qu’était le vélo. Et je me suis dit que la réponse pourrait se trouver dans l’histoire de la bicyclette, depuis la naissance du vélocipède. J’ai alors appris que le vélo était européen ; qu’il avait été inventé par un Allemand, que la pédale avait été trouvé par un Français et que le vélo moderne avait été inventé par un Anglais.

Les recherches de documents à travers l’Europe ont été parfois difficiles certes, mais j’ai toujours été aidé et même encouragé parfois par des personnes des organismes où je les ai effectuées, de façon anonyme dans la grande majorité des cas.

Beaucoup de documents m’ont été donnés par M. Max Rauck et son fils Michael. Les documents et les informations communiqués par M. Dominique Olivier et M. Bruno Olivier de Sanderval, ainsi que les membres de la famille Olivier, ont souvent été déterminants dans ma connaissance des frères Olivier.

Pendant les recherches et pendant la rédaction de cette étude, je me suis quelques fois demandé, entant que non européen, si je pouvais apporter un autre regard, un regard neuf, sinon neutre, sur son histoire. Je voulus surtout vivre l’histoire du vélocipède, avec le baron de Drais, Pierre Michaux et les frères Olivier. Pour cette raison, j’ai préféré citer des textes d’époque. Écrits par des inventeurs, des mécaniciens et d’autre, ils ne sont pas toujours bien rédigés, mais je voulus donner ainsi la parole à ces acteurs de l’histoire du vélocipède.

M. Bernard Déon a eu la gentillesse de lire mon manuscrit. M. Roland Sauvaget a eu la gentillesse de m’aider à la mise en forme de mon manuscrit.

Les encouragements apportés par le Bicycle Culture Center, de Tokyo ont toujours été pour moi d’un grand réconfort.

Dès mon arrivée à Paris en 1974, M. Bertrand Gille m’accueillit comme élève dans sa conférence portant sur l’histoire des techniques et dirigea mes premières recherches. Après la disparition tant regrettée de M. Gille en 1980, M. Jean Tulard a pris sa suite et m’a dirigé dans la même lignée, et ce toujours avec beaucoup de patience.

               Keizo Kobayashi   Paris 1993.

- L’histoire de la naissance de la bicyclette n’a-t-elle pas été faussée par de nombreux mythes dus à une pratique abusive de la compilation et à l’absence de véritables recherches ? L’auteur apporte un nouvel éclairage avec cet ouvrage réalisé après des années de recherches à travers toute l’Europe -.

(Thèse présentée pour l’obtention du diplôme de l’École pratique des Hautes Études, IVe section, Sciences historiques et philologiques, de Paris, sous la direction du professeur Jean Tulard. Avril 1990).

 

1993- 406 pages – Édité avec le soutien du Bicycle Culture Center Tokyo.

 

05/07/2014

Le Potvin Michel

cyclotourismeNouvelles du 5e G.C.

Histoires de régiment de Chasseurs Cyclistes cantonnés au Château de Vincennes.

Auteur : Michel Le Potvin

De la vingtaine de nouvelles qui composent ce recueil, toutes ne sont pas en relation direct avec la pratique de la bicyclette au sein de ce fameux 5e Groupe Cycliste cantonné au château de Vincennes - la vie militaire et les relations humaines y  occupent une place non négligeable – mais celles qui y ont trait valent largement de placer ce livre parmi les témoignages, fort peu nombreux, sur le cyclisme militaire.  Qu'il s'agisse du difficile apprentissage sur bicyclette Gérard , des désagréments de devoir pédaler sur pignon fixe tout en portant sa baïonnette ou de sauter en voltige, le texte regorge d'anecdotes savoureuses qui en rendent la lecture fort plaisante.

Le ton est alerte, souvent moqueur et ironique mais toujours plein de tendresse pour ces chasseurs avec lesquels l'auteur a partagé de délicieux moments de vie mais aussi d'autres plus tragiques comme cette exécution capitale à la caponnière.

Les amateurs de vielles machines trouveront également leur plaisir à l'évocation de cette rencontre avec une cycliste chevauchant une bicyclette Thomann munie d'un dérailleur, ce que les solides gaillards du Groupe n'avaient encore jamais vu !

Ces nouvelles, destinées à l'origine à être publiées en 1960, le furent finalement grâce à la volonté de Michel, le fils et offrent un formidable éclairage sur ce qu'ont pu être ces groupes cyclistes en 1920, avant leur disparition.

      - Commentaires de  Jean-Yves Mounier.

-2013- 218 pages – LES ÉDITIONS DU NET – www.leseditionsdunet.com

22 rue Édouard Nieuport – 92150 Suresnes.

Prix : 13 € 

03/07/2014

Zheutlin Peter

cyclotourismeAround the world on two wheels
Annie Londonderry’s Extraordinary Ride

Auteur : Peter Zheutlin

 

« Peter Zheutlin’s thoroughly researched account wil make you wish you’d been around to catch a glimpse of the extraordinary woman as she went wheeling by. »
Bill Littlefield, National Public Radio’s Only a Game.
Until 1894 there were no female sport staes, no product endorsement deals, and no young mothers with the chutzpah to circle the globe on a bicycle.
Annie Londonderry changed all of that.

When Annie left Boston in june of that year, she was a brash young lady with a 42 pound bicycle, a revolver, a change of underwear, and a dream of freedom. She was also a feisty mother of three who had  become the center of what one newspaper called “one of the most novel wagers ever made“ : a high-stakes bet between two wealthy merchants that a woman could not ride around the world on a bicycle. The epic journey that followed took the connection between athletics and commercialism to dizzying new heights, and turned Annie Londonderry into a symbol of women’s equality.

A vastly entertaining blend of social history, high adventure, and maverick marketing. Atound World on Wheel sis an unforgettable portrait of courage, imagination, and tenacity.

“Annie was a remarkable woman and well worth getting to know.“
Booklist
“A wonderful telling of one of the most intriguing, offbeat, and until now, lost chapters in the history of cycling.“

 

2007 – 260 pagesCitadel

Pour en savoir plus, voir le site que l'auteur consacre à son héroïne.

Lire l'article de Claude Marthaler paru dans La Liberté et Annie Londonderry, ou le premier tour du monde féminin à vélo (pp. 143-147) in A tire-d'Elles,Femmes, vélo et liberté
Un article très complet sur le site "Le petit braquet".
Annie Londonderry a également inspiré le collectif cyclo-féministe "Les dérailleuses" pour son fanzine.

Vant André

cyclotourismeLe cycle en région stéphanoise, un siècle de savoir-faire

Auteur : André Vant

C’est à Saint-Étienne, « capitale française du cycle », qu’aurait été fabriquée la première bicyclette française, en 1886. L’essor de cette industrie, lié à une tradition métallurgique ancienne, doit beaucoup à l’armurier Étienne Mimard, fondateur de la société « Hirondelle » et précurseur de la production industrielle de cycles, et à Paul de Vivie , dit Vélocio, « apôtre » du cyclotourisme. Des années 1920 considérées comme l’âge d’or de l’industrie du cycle à Saint-Étienne, aux années 1970, on assiste au développement des grandes firmes telles que Manufrance, Ravat ou Automoto puis Mercier. Ces entreprises assoient leur notoriété grâce à des innovations techniques ou par le biais d’une implication active  dans les domaines phare de la pratique cycliste que sont la compétition sportive et le cyclotourisme.

 Renommée de Saint-Étienne auprès des constructeurs français : dérailleurs Cyclo, pédaliers Stronglight puis tubes et cadres Vitus...

Depuis plusieurs décennies, le musée collecte la mémoire de l’industrie du cycle à Saint-Étienne, sous toutes ses formes. Cet ouvrage de référence sur l’histoire du cycle accompagne l’exposition temporaire dédiée à l’industrie du cycle qui donnera un véritable coup de projecteur sur la richesse et l’unicité des collections de cycles stéphanois du musée. L’ouvrage et l’exposition offriront l’opportunité de dévoiler des objets et des documents jamais exposés.

-2014- 336 pages, format 25 X 17.5 cm – Librairie Le Failler -

http://www.librairielefailler.fr/9782849753378-le-cycle-en-region-stephanoise-un-siecle-de-savoir-faire-andre-vant/

Prix : 25 €

03/06/2014

Franz Renate

 

Renate Franz.jpgDer vergessene Weltmeister

Das rätselhafte Schicksal des Radrennfahrers Albert Richter

Auteur : Renate Franz

 Albert Richter ist ein hoch begabter Sprinter, ein talentvoller Rennfahrer, dem der deutsche Radrennsport schon jetzt für alle Zeiten einen Ehrenplatz neben seinen erfolgreichen Größen einräumen muss“, schrieb „Der Deutsche Radfahrer“ über einen jungen Mann, der im September 1932 in Rom sensationell Amateur-Weltmeister im Sprint geworden war, noch zahlreiche internationale Medaillen und Bahnklassiker gewann und zu den populärsten Sportlern seiner Generation gehörte. Doch nur wenige Jahre später hieß es in derselben Verbandszeitschrift voller Häme über Albert Richter: „Sein Name ist für alle Zeit in unseren Reihen gelöscht.“

Mit seinem Mut und seiner Geradlinigkeit war Albert Richter bei den Machthabern und Sportfunktionären des Dritten Reiches in Ungnade gefallen. Er stand der nationalsozialistischen Ideologie kritisch gegenüber, verweigerte mehrfach das Tragen von Hakenkreuztrikots und hielt an seinem jüdischen Manager Ernst Berliner fest. Im Jahre 1940 kam Albert Richter im Gefängnis von Lörrach unter mysteriösen Umständen ums Leben. Mit großer Wahrscheinlichkeit wurde er von der Gestapo ermordet.

Der Journalistin Renate Franz ist es dank aufwändiger, akribischer Recherchen und zahlreicher Interviews mit Zeitzeugen gelungen, Licht in das Dunkel zu bringen. Ihre Dokumentation „Der vergessene Weltmeister“ rollt das Leben eines ungewöhnlichen Menschen und Sportlers auf und beleuchtet die Umstände seines Todes neu. Viele entlarvende Einblicke in die Geschichte des Radsports und der Stadt Köln in der NS-Zeit machen dieses neu aufgelegte Buch, das sich oft wie ein Krimi liest, zur Pflichtlektüre.

2007- 192 pages Éditions COVADONGA

Prix : 14.80 €

Commentaire de Jean-Pierre Nedelec                

Tandis que le cyclisme professionnel a été souillé, ces dernières décennies, par de bien sales affaires, il est bon d'honorer la mémoire du grand champion que fut le coureur allemand Albert Richter, dans les années 30. Dans le livre consacré à son père, le champion breton Fañch Favé, Yves Favé rappelle que champion de vitesse amateur, vainqueur du Grand Prix de Paris à 20 ans, et sept fois champion d'Allemagne de vitesse de 1932 à 1939, Albert Richter fut aussi un résistant de la première heure à la déferlante nazie, puisqu'il refusa obstinément de tendre le bras, à la manière hitlérienne, lors de ses nombreuses et prestigieuses victoires, de porter un maillot à croix gammée, et de se séparer de son entraîneur, Ernst Berliner, au prétexte qu'il était juif.

Prudent du fait de la popularité de Richter, l'état nazi finit pourtant par l'arrêter en 1940, et il fut « suicidé »trois jours plus tard par la Gestapo.

Le vélodrome de Cologne porte son nom, et Yves Favé a entrepris des démarches pour que le vélodrome de Lesneven, dédié à son père, puisse lui être jumelé, car les deux hommes s'estimaient et coururent bien des fois ensemble, en particulier sur le vélodrome de Brest.

Espérons que très bientôt, un cyclo-germaniste ait la bonne idée de traduire Albert Richter : der vergessene Weltmeister.

Voir son palmarès sur Le petit braquet.
 

À lire aussi :

Fañch Favé, la coqueluche de Brest Kerabécam, de Yves Favé et Daniel Kerh, éditions Locus Solus

 Partir, c'est crevir un pneu, de Jean-Pierre Nedelec, éditions Gros Textes (disponible chez l'auteur).

 

Claude Marthaler vient de nous faire parvenir (02/03/17) un article sur ce grand champion, en attendant l'édition française de ce livre.

17/04/2014

Vieren Jipe

cyclotourismeL’incroyable histoire du vélo

Auteur : Jipe Vieren

Quelques historiens peu sérieux, Victor Hugo, Augustin Thierry, Robert Chapatte, ont pu parler de la bicyclette en termes non scientifiques.

Jipe Vieren, authentique champion du véhicule, ami d’Eddy Merckx entre autres, démontre rationnellement que le biclou date du paléolithique supérieur, et que sans lui on ne comprendrait ni l’histoire de Charles VII ni celle de Napoléon.

-2014- 122 pages – Éditions : Le Panier d’Orties.

jipevieren@hotmail.com

Prix : 12 € + 2 € de frais d’envoi.

06/04/2014

Henry Christelle

cyclotourismeLa Belle Époque du Vélo Finistèrien

Auteur : Christelle Henry

Chaque semaine, des courses cyclistes sont disputées dans le Finistère. L’engouement pour ce sport est très fort dans le département. Depuis l’apparition du vélocipède, les finistériens se sont pris de passion pour cette machine. Elle fut d’abord l’objet de promenades. Puis le sens de la compétition prit le dessus. Un peu partout, des courses essaimèrent pour la plus grande joie du public. Les places ou champs de foire furent investis par ces drôles de fous de la pédale. Toujours à la recherche de plus de vitesse, les compétiteurs se réunirent dans les vélodromes et sur les routes, mordant la poussière. Mais qu’importe... Cette historiette (issue de mon mémoire de DEA) raconte la préhistoire du cyclisme dans le Finistère.

-2014- 124 pages – www.thebookedition.com

Prix : 12 €